FAITS DIVERS

Ce week-end, Audrey Felice , 41 ans, coach dans la salle de sport tarbaise l’Orange Bleue, a été retrouvée morte près du cadavre de son ex-compagnon, selon le parquet de Tarbes ce lundi 15 mai. En effet, dimanche soir, les policiers ont découvert deux cadavres dans un bois de la commune de Laloubère, près de Tarbes : celui de la coach sportive, portant des traces de blessures par arme blanche, et celui de son ancien compagnon, pendu.

"D’après les premières constatations, la thèse privilégiée est celle de l’homicide par conjoint, suivi du suicide par pendaison. Elle est vraisemblablement décédée de blessures à l’arme blanche au niveau de la gorge", a déclaré à l’AFP la procureure de Tarbes, Bérangère Prud’Homme. L’ex-compagnon, Samy Dioumassy, était sorti de prison voici deux ans, après avoir été condamné par la cour d’assises de l’Indre pour homicide, a précisé la magistrate. Il était allé chercher Audrey Felice à la sortie de son travail en raison des fortes pluies samedi à la mi-journée, la victime n’ayant pas de véhicule. La voiture du meurtrier présumé avait ensuite été aperçue une heure plus tard à Laloubère.

La disparition inquiétante d’Audrey Felice avait été signalée samedi après-midi. L’annonce de son décès a provoqué une grande émotion.

Un bénévole italien de 73 ans a été placé en garde à vue pour agression sexuelle sur une autre bénévole de la cité Saint-Pierre, à Lourdes. Une expertise ADN est diligentée. Selon les informations rapportées, une bénévole âgée de 62 ans a porté plainte pour agression sexuelle contre un autre bénévole de la cité Saint-Pierre, d’origine italienne. Les faits se sont produits dans l’ascenseur de la cité Saint-Pierre, où l’homme aurait tenté de toucher la poitrine de la sexagénaire.

Le suspect nie les faits, mais une seconde victime présumée s’est présentée au commissariat pour étayer la thèse de la plaignante. Cette dernière a également déclaré que le même homme avait tenté de l’embrasser de force en 2019, mais elle n’avait pas déposé plainte à l’époque. Une expertise ADN a été demandée afin d’identifier toute trace de l’homme sur les vêtements de la dame. Le bénévole italien a été laissé libre.

Un homme a brandi une dague de 30 centimètres devant la Grotte de Lourdes lors du Pèlerinage Militaire International. L’homme, un gendarme réserviste de 56 ans, a été immédiatement neutralisé par les forces de sécurité déployées. Il a ensuite été examiné par un médecin et interné à l’hôpital psychiatrique de Lannemezanl après avoir subi une évaluation psychiatrique. L’homme a expliqué qu’il effectuait un rituel de l’Ordre des Templiers pour honorer sa fille décédée et son enfant adoptif perdu. Cet incident souligne l’efficacité des mesures de sécurité mises en place pour le pèlerinage, qui accueille 14 000 pèlerins militaires et leurs familles en provenance de 38 pays. Le dispositif de sécurité comprend une centaine de caméras de surveillance et diverses forces de l’ordre, telles que la police nationale, la police municipale et les gendarmes actifs. La vigilance du personnel de sécurité a également permis d’identifier des individus suspects, comme un usurpateur de l’identité d’un pompier et d’un gendarme. Ces dispositifs visent à assurer la sécurité des pèlerins et à prévenir d’éventuels actes de malveillance.

Ce jeudi 4 mai, vers 10h30, un homme d’une quarantaine d’années qui se promenait avec sa femme et ses enfants a disparu après être tombé dans un torrent à La Raillère près de Cauterets. L’homme se serait approché du torrent avant de glisser et d’être emporté par le courant. Les recherches menées par les pompiers et la compagnie de gendarmerie d’Argelès-Gazost n’ont pas permis de retrouver le corps de l’homme, en raison de la hauteur de l’eau et de la force du courant.

Un incendie s’est déclaré ce lundi soir 1er mai, vers 21h20. Ce bâtiment, autrefois dénommé chalet de l’Edelweiss, situé 5 rue des Espenettes à Lourdes, était, selon le voisinage, régulièrement squatté. On ignore les causes du sinistre qui a pris très vite de l’ampleur, engageant de nombreux secours, dont une vingtaine de sapeurs pompiers de Lourdes et des centres voisins. La police nationale a procédé à la sécurisation des abords, les personnes étant nombreuses à s’être massées place du Champ-Commun et et de l’autre côté, chaussée du Bourg. L’adjointe au maire de permanence Cécile Prévost était sur place. Heureusement, les pompiers ont empêché que le feu se propage aux maisons voisines. Et aucune victime n’est à déplorer.

Une femme née en 1970 a été retrouvée morte dans le lac de Lourdes. La piste du suicide est privilégiée. Des bouteilles d’alcool, une boîte d’antidépresseurs vide, un mot demandant qu’on la laisse mourir ont été retrouvés sur les lieux. Un homme faisant du paddle a découvert le corps et a contacté les forces de l’ordre. Malgré l’intervention des pompiers, de l’équipe de sauvetage nautique et du SAMU, le corps sans vie a été repêché. La présence de la femme dans l’eau daterait de moins de 24 heures. Une enquête en recherche des causes de la mort a été ouverte par la police. Le médecin a constaté le décès, avec un obstacle médico-légal ouvrant la voie à une autopsie.

Un départ de feu a été rapidement maîtrisé grâce à l’intervention des salariés de l’hôtel et des pompiers du centre de secours de Lourdes qui ont évacué les lieux en moins d’une heure. Selon la responsable de l’établissement, les salariés ont appliqué l’exercice d’évacuation qui avait été préalablement mis en place.

Le départ de feu a été causé par la chaudière de fioul, survenu vers 7h15 et terminé à 8h30. Heureusement, l’incident n’a causé que de la frayeur et n’a pas fait de blessé. L’hôtel accueillait à ce moment-là des membres du pèlerinage HCPT, notamment des enfants handicapés et leur famille du Royaume-Uni.

Heureusement, il n’y a eu aucun blessé et les pèlerins peuvent poursuivre leur séjour en toute sécurité.

A Cauterets sur la D920, au niveau de la déchetterie, un accident de la circulation s’est produit vendredi soir, mettant en cause trois véhicules. L’accident a fait six blessés, dont deux graves, un père et son fils de 8 ans qui ont été évacués vers l’hôpital de Tarbes. Dans la seconde voiture, une famille a été légèrement blessée et a été transportée à l’hôpital de Lourdes. D’importants moyens ont été mobilisés avec des pompiers des centres de secours de Cauterets, Pierrefitte-Nestalas, Argelès et Lourdes, ainsi que le SMUR de Lourdes. Les gendarmes ont régulé le trafic et sécurisé la zone durant l’intervention.

Par ailleurs,, un autre accident s’est produit sur la commune d’Artalens-Souin, sur la route du Hautacam, impliquant un seul véhicule. Le conducteur, un homme de 39 ans, a été légèrement blessé et a été transporté au centre hospitalier de Lourdes.

Les papiers d’identité de Cédric Tauleygne, ainsi qu’une arme de poing ont été retrouvés près d’un cadavre découvert par un chasseur près de Jaca en Espagne. Les autorités soupçonnent que le corps pourrait être celui de Tauleygne, qui était recherché depuis huit mois pour le meurtre de sa femme et de l’homme avec qui elle avait commencé une relation amoureuse. Bien que des analyses médico-légales doivent encore être effectuées pour confirmer l’identité et les causes exactes de la mort, les autorités ont déclaré que les résultats de la comparaison ADN entre le corps retrouvé et celui de Tauleygne seront déterminants pour confirmer l’identité du corps. Le juge d’instruction de Pau a demandé l’assistance des militaires de la section de recherches de Toulouse pour enquêter sur cette affaire. Les proches de victimes attendent avec impatience les résultats de l’enquête pour confirmer l’identité du corps.

La permanence du député Renaissance Benoît Mournet à Lourdes a été victime d’une nouvelle tentative de vandalisme lundi soir. Un individu a tenté de tagger "64, Non" sur le rideau métallique de la permanence à la peinture blanche. Cependant, la police est arrivée rapidement et l’auteur a été pris en flagrant délit. Benoît Mournet, qui n’avait pas porté plainte après des jets d’œufs et le collage d’une affichette le week-end précédent, envisage désormais de déposer plainte auprès du commissariat de police de Lourdes.