Hier soir, durant plus d’une heure, des militants cégétistes ont perturbé la cérémonie des vœux du conseil départemental des Hautes-Pyrénées qui se déroulait à l’établissement Le Set, zone de Bastillac à Tarbes. A l’arrivée des élus et des salariés, une pétition demandant le retrait du projet de la réforme des retraités était proposée à la signature des conseillers départementaux. Puis les cégétistes, derrière Angélique Samaran, secrétaire générale de l’UD CGT 65, se sont invités dans la salle où devaient se tenir les festivités. Les drapeaux de la CGT, nombreux, étaient dispersés dans l’enceinte. Le président Michel Pélieu eut bon souligner que les conseillers départementaux n’étaient pas concernés par cette réforme et que la parole reviendra aux députés et sénateurs, la tension est montée lorsque Frédéric Laval, conseiller départemental de LaRem et candidat sur la liste de Gérard Trémège, a voulu tenir tête aux militants cégétistes. Il s’en est fallu de peu qu’on en vienne aux mains ! Angélique Samaran, essaya de prononcer son discours mais devant la cacophonie ne put arriver à son terme. Elle parvint néanmoins à dire que les employés territoriaux seraient impactés par cette réforme. Bref, une soirée très “ rock and roll ” dans cette enceinte discothèque.
Arrêté n° 2020-01-18 : arrêté pour alternat Route de Pau du 13 janvier 2020 au 20 février 2020
Venez renouveler votre carte d’abonnement ou l’acquérir pour la 1ère fois. Vous ne regretterez pas ! Il y a plein de bonnes raisons pour prendre la carte du Château : vous venez autant de fois que vous le désirez, vous êtes notre invité privilégié … (...)
Il y a un an jour pour jour, notre usine était ravagée par un incendie qui détruisait complètement notre outil de travail.
Dès le lendemain, convaincus de notre savoir faire héritier d’une histoire industrielle de 87 ans, nous nous sommes mobilisés pour exiger du groupe COFIGEO devenu propriétaire de notre usine une reconstruction rapide. Nous avons alerté les pouvoirs publics, nous nous sommes mobilisés, toujours dans le respect et la responsabilité, pour sauver nos emplois et notre usine.
Il fallait construire très vite un atelier relais pour redémarrer une activité et rassurer nos clients : cela était possible et viable.
Mais très vite aussi, nous avons compris et mis à jour les manœuvres du groupe COFIGEO, dont le principal objectif était de cesser toute activité, percevoir les indemnisations d’assurance dues au sinistre et conclure dès février un plan de licenciement low-cost.
Nous n’avons pas accepté le mépris affiché par les actionnaires et ce que d’aucuns présentaient comme une fatalité. (...)