Tournée des commerçants lourdais pour Clément Menet, candidat Les Républicains dans la 2e circonscription

Après avoir tracté le samedi précédent autour des halles et sur le marché, Clément Menet, candidat Les Républicains sur la deuxième circonscription des Hautes-Pyrénées, et sa suppléante Marie-Christine Assouère ont visité les commerçants lourdais, mercredi. « Nous avons écouté leurs soucis et leurs aspirations, a noté le maire de Vic-en-Bigorre. Demain, nous irons dans certains quartiers de Lourdes faire du porte-à-porte. Lourdes est une commune très importante pour la circonscription et le département. Vendredi, nous rencontrerons aussi l’intersyndicale des commerçants et plusieurs hôteliers. Nous aurons ainsi abordé la quasi-totalité des sujets importants. Nous terminerons le vendredi 2 juin par une réunion publique au palais des congrès de Lourdes ».

Clément Menet a rappelé qu’être député c’est aussi être le représentant des spécificités et des problématiques du territoire. « Il faut permettre à Lourdes de rayonner à l’international  ». Quels sont les sujets qui ont été évoqués au cours de leurs rencontres ? Les problématiques locales telles que la sécurisation de Lourdes et des sanctuaires sont revenus souvent. « Il y a de vraies inquiétudes, même s’il s’agit d’être vigilant pour sécuriser la ville de Lourdes  ». Pour Marie-Christine Assouère, bunkériser la ville de Lourdes n’est pas une solution. « La présence des policiers doit être importante. Cette sécurisation ne doit pas empêcher l’économie locale de vivre ». Pour autant, le candidat et sa suppléante n’entendent pas s’immiscer dans des problèmes locaux. « S’il est élu député, Clément Menet essaiera de favoriser des aides fiscales pour aider les commerçants », fait observer Marie-Christine Assouère.

Dans leurs contacts, Clément Menet et Marie-Christine Assouère expliquent leur projet, leurs convictions, assurant être avant tout constructifs, ne cachant pas qu’ils partagent certaines mesures du gouvernement actuel. Par contre, Clément Menet votera contre la hausse de la CSG prévue dans le programme d’Emmanuel Macron et contre toutes les mesures floues. «  En aucun moment, il ne s’agira de donner un blanc-seing au gouvernement. On souhaite tourner la page de la vieille politique et nous optons pour une alternative constructive. Il y a dans le pays une aspiration à rénover la vie politique. À 35 ans, je m’inscris dans ce renouveau ». conclut Clément Menet