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Le 23 mars dernier, les élections municipales à Adé ont donné leur verdict : 51% en moyenne des votes se sont exprimés en faveur de la liste représentée par Mr BOYA, contre 49% en moyenne se sont exprimés en faveur de la liste représentée par moi-même.
Tout d’abord, mon équipe et moi-même tenons à remercier personnellement celles et ceux qui ont cru en notre capacité à apporter encore de belles choses à Adé, et qui ont voté pour notre liste « Ensemble pour l’avenir d’Adé ». (suite)
Dans le cadre de la célébration de la Saint-Hippolyte, le maire d’Adé, Jean-Marc Boya, a adressé un discours chaleureux et inclusif à ses concitoyens. Il a commencé par saluer les forces de l’ordre, les pompiers, ainsi que les partenaires et la presse, soulignant l’importance de leur travail quotidien. Il a réservé un accueil particulier aux nouveaux résidents de la commune, exprimant son désir que ceux-ci trouvent leur place et s’intègrent harmonieusement. Le maire a également mentionné le nouveau député, Denis Fégné, en reconnaissant son travail pertinent au sein de l’agglomération et en soulignant la confiance que le président lui a accordée en lui confiant le poste de président de la commission des finances. Il a félicité le comité des fêtes sur la brèche pendant 3 jours et remercié de leur présence les nombreux élus dont Jean-Louis Cazaubon, vice président de la région, Gérard Trémège, président de la CATLP, les conseillers départementaux Stéphane Peyras, Marie Plane, Evelyne Laborde. Enfin, il a rendu hommage à la chorale locale pour son soutien constant et a exprimé sa gratitude envers Monseigneur Perrier, ancien évêque du diocèse Tarbes et Lourdes, de 1998 à 2021, invité d’honneur qui a célébré la messe. Ce discours reflète l’esprit de communauté et de reconnaissance qui caractérise la commune d’Adé.
Lire le programme de la bodega de l’U.S. Adé...
Autour du maire Jean-Marc Boya et du conseil municipal d’Adé, quelques habitants de la commune sont venus au monument aux morts rendre hommage aux victimes de la grande guerre, notamment aux enfants adéens dont les noms sont gravés sur le monument aux morts. Quatre enfants adéens et Jean-Marc Boya ont déposé une gerbe. L’assistance a observé une minute de silence.
Ce mercredi matin, à une demi-heure d’intervalle, les communes d’Adé et Bartrès ont commémoré le 91e anniversaire de l’armistice de la première guerre mondiale. Les deux maires Robert Bergero et Gérard Clavé étaient entourés de leurs conseillers municipaux , de quelques habitants et de José Marthe, le conseiller général du canton.
Le 22ème cyclo-cross d’Adé, organisé par le Cyclo-Club Madiran, aura lieu le mercredi 11 novembre 2009. Départs à 14h30 et 15h.
Après l’envahissement du stade municipal par une trentaine de caravanes de gens du voyage, Robert Bergero, maire d’Adé, absent du département, a contacté téléphoniquement deux élus, la gendarmerie de Lourdes et les services médiateurs de la ville de Lourdes pour demander l’évacuation des gens du voyage « rentrés par effraction sur le domaine privé de la commune ».
Lundi soir 14 janvier 2025, dans la salle du conseil municipal d’Adé, le Maire Jean-Marc Boya et son conseil municipal ont invité les habitants et les forces vives de la commune à la traditionnelle cérémonie des voeux. L’occasion pour le premier magistrat de prononcer son discours.
Bonsoir à tous,
Cette cérémonie permet au moins une fois par an, à l’ensemble des acteurs de la vie communale de se retrouver pour échanger sur ce que va être la nouvelle année.
Avant de parler des projets il est de bon ton de regarder ce qui a été réalisé l’année passée et de remercier tous ceux qui permettent à notre village de se développer et de vivre en bonne entente.
Je commencerai par remercier nos financeurs, même si nous souhaiterions qu’ils soient plus généreux (surtout certains) mais comme on dit les petits ruisseaux font les grandes rivière (...)
Le collectif « Cambidos Debout » s’oppose fermement au projet de contournement d’Adé, un tracé routier de 6 km estimé à 76 millions d’euros. Ce projet, qui vise à réduire l’engorgement routier entre Tarbes et Lourdes, est critiqué pour son impact environnemental dévastateur et son coût exorbitant. Le collectif souligne la présence d’amiante naturelle dans l’éperon rocheux de Cambidos, un obstacle naturel et dangereux, ainsi que la destruction de plus de 10 hectares de zones humides et de terres agricoles.
Financé par l’État, la Région Occitanie et le Département des Hautes-Pyrénées, ce projet manque de transparence et de communication avec les citoyens. Le collectif appelle à une remise en question du projet au nom de la démocratie, de la transparence et des enjeux environnementaux. Ils demandent la publication des plans et études d’impact pour une véritable concertation publique, conformément aux droits des citoyens à être informés et à participer à l’élaboration des projets ayant un impact sur l’environnement.
Le collectif « Cambidos Debout » invite tous les citoyens, proches ou éloignés du lieu du projet, à se mobiliser pour défendre la nature et promouvoir des alternatives plus respectueuses de l’environnement et du bon sens.