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LA (NON) REPONSE d’ARTIGANAVE

vendredi 19 avril 2013 par Rédaction

Lettre recommandée avec A/R

Monsieur le Directeur de la Publication,

J’ai l’honneur de vous demander d’insérer mon droit de
réponse en réaction à l’article me concernant sous le titre « Lettre ouverte au
Maire de Lourdes, 1071 jours et pas de réponse » récemment mis à jour.

L’insertion sollicitée est faite en application des
dispositions de l’article 13 de la loi du 29 juillet 1881, en vous rappelant
comme vous le savez que le droit de réponse constitue un droit absolu. Ma
réponse devra figurer tant sur le texte papier que sur la version en ligne de
votre site.

Bien entendu, je vous demande de respecter un strict
parallélisme des formes, mon droit de réponse devant figurer en haut de page,
tout comme l’article initial en début de parution et devant rester en ligne
aussi longtemps que ce dernier, sa longueur étant conforme aux dispositions
susvisées.

De plus, je vous demande de procéder à cette insertion sous
48 heures, faute de quoi je saisirai la juridiction compétente.

La réponse à insérer est la suivante :

 «  normal'>Messieurs,

C’est bien volontiers
que je réponds à votre courrier en date du 28 février 2013 et par la même à la
lettre ouverte mise en ligne sur votre site depuis le 8 mai 2010.

La présente me permet,
au demeurant, de faire une mise au point avec vous et de mettre à jour vos
contradictions.

En préambule, sauf
texte juridique dont je n’aurai pas connaissance, je vous confirme que la ville
de Lourdes, comme toute autre collectivité locale, personne morale ou physique
dans ce pays, fixe librement les invitations qu’elle adresse à la presse.

Pour que les choses
soient claires : mon propos ne concerne évidemment pas la transmission de
documents administratifs qui est une obligation légale parfaitement encadrée.
Cette précision me paraissait importante à formuler dès lors que vous êtes un
adepte de la confusion des genres et que vous n ’hésitez
pas à faire de l’amalgame une arme de
désinformation massive
.

Venons-en aux
explications que vous me demandez. Pour éclairer mon propos permettez-moi de
commencer par relater un fait qui devrait non seulement vous intéresser mais
également intéresser vos lecteurs.

Lors de son entrée en
fonction, mon nouveau directeur cabinet a pris l’initiative d’un rendez- vous
avec Gérard Merriot que ce dernier a accepté avant de s’en faire l’écho
tardivement et partiellement dans vos colonnes au détour d’un article.

Lors de ce
rendez-vous, il vous a clairement indiqué que la ville de Lourdes était prête à
vous inviter à tous les points presse et à vous transmettre tout communiqué
émanant de notre collectivité sans aucune contrepartie. C’était une option
soutenue par mon nouveau collaborateur qui avait fini par obtenir mon accord.

Manifestement
embarrassé, Gérard Merriot a alors décliné cette proposition au motif que <b
style='mso-bidi-font-weight:normal'>le matraquage en règle du maire, jusqu’à
son entourage personnel, et de toutes les initiatives municipales faisait le
succès de votre support. Ce que vous confirmez clairement dans le dernier
paragraphe de votre lettre qui met à
jour votre contradiction pour ne pas dire votre duplicité
.

Votre courrier aura eu
le mérite de clarifier la situation sur ce point puisque vous écrivez que
depuis que vous ne recevez plus d’invitations de la Mairie votre « audience n’a
cessé de progresser ». Dont acte, tout cela est clair et éclairant pour vos
lecteurs.

Mais la ville de
Lourdes ne peut cautionner un support
dont la ligne éditoriale suivie est aux antipodes des dispositions les plus
élémentaires figurant dans le code de déontologie de la profession dont il se
réclame !

Faux sondages ; photos
tronquées, photos détournées, caricatures, propos haineux, outrages
rédactionnels et menace de « représailles » à l’adresse d’un fonctionnaire
territorial, qui ne saurait être l’otage d’un tel déballage, sont le lot
quotidien d’une rubrique dite de "bruits et chuchotements" et autres
articles qui érige la rumeur en vérité établie et par là même tente sciemment
de tromper le lecteur quand elle ne cherche délibérément pas à fausser son
jugement.

Lorsque la ville
demande à ce que soit publié un droit de réponse, elle est parfois confrontée à
un refus et se trouve obligée d’avoir recours à l’injonction juridique pour
vous placer devant vos obligations.

La décision de ne plus
associer votre site internet aux opérations de communication conduites par la
ville est à l’origine de surenchères et de dérives aggravées de votre rédacteur
photographe permanent au point d’atteindre un point de non-retour.

Dans ces conditions,
la majorité municipale est plus que jamais solidaire de son Maire dans toutes
les démarches qu’il entreprendra pour dénoncer des pratiques inadmissibles.

Au-delà de cette
majorité, je dois vous dire qu’aucun Lourdais ne m’a jamais arrêté en ville ou
n’a pris l’initiative d’une pétition me demandant instamment de vous réinviter
aux points presses municipaux.

En revanche, nombreux
sont ceux qui m’ont dit ne pas comprendre pourquoi je laissais dire et laissais
faire au regard du contenu de vos pages ! Tout comme les journalistes
professionnels qui font leur métier en ayant conscience de leur rôle éminent
dans le bon fonctionnement de notre démocratie locale ne comprendraient pas que
je vous invite à nouveau aux points presses organisés parla Ville de Lourdes.

Telles sont les
explications demandées dans votre lettre ouverte en ligne depuis le 8 mai 2010
ainsi que dans le, courrier que vous m’avez envoyé le 28 février dernier.

Vous souhaitant bonne
réception de la présente qui, j’en suis convaincu, répond aux questions
soulevées dans vos différents courriers.
 »

Enfin, je vous informe
que je me réserve le droit de diffuser la présente
.

Jean-Pierre Artiganave,

maire de Lourdes,

président de la Communauté de
communes du Pays de Lourdes

Nous allons répondre point par point au maire de Lourdes qui, une fois de plus, se l’accommode à sa sauce royale, travestissant la réalité.
D’abord, pour la compréhension de ce qui va suivre, nous mettons en ligne les deux courriers auquel JPA fait référence.

 Le courrier du 28 février 2013

 Le courrier du 6 novembre 2009 qui est mentionné dans la lettre ouverte figurant en page d’accueil (1071 jours et pas de réponse)

1 - <span
style='mso-spacerun:yes'> Espoir et déception
.<span
style='mso-spacerun:yes'> 

En lisant le premier paragraphe de la missive : <span
style='color:#C00000'>« <span
style='mso-ascii-font-family:Calibri;mso-fareast-font-family:Calibri;
mso-hansi-font-family:Calibri;mso-bidi-font-family:"Times New Roman";
color:#C00000'>C’est bien volontiers que je réponds à votre courrier en date du
28 février 2013 et par la même à la lettre ouverte mise en ligne sur votre site
depuis le 8 mai 2010 »,
on
s’est dit : Enfin, on va savoir la
raison qui a motivé notre exclusion des médias avec lesquels communique la
mairie de Lourdes ».
Eh bien, nous sommes restés sur notre faim et
Artiganave ne s’est pas justifié.

2 – Contradiction,
vous avez dit contradiction ?

« <i
style='mso-bidi-font-style:normal'> mso-fareast-font-family:Calibri;mso-hansi-font-family:Calibri;mso-bidi-font-family:
"Times New Roman";color:#C00000'>La présente me permet, au demeurant, de faire
une mise au point avec vous et de mettre à jour vos contradictions
 »<i
style='mso-bidi-font-style:normal'> mso-fareast-font-family:Calibri;mso-hansi-font-family:Calibri;mso-bidi-font-family:
"Times New Roman"'>.
Nous allons démontrer que c’est faux.

3 – Invite qui<span
style='mso-spacerun:yes'> il  y
veut
. 

« <span
style='mso-ascii-font-family:Calibri;mso-fareast-font-family:Calibri;
mso-hansi-font-family:Calibri;mso-bidi-font-family:"Times New Roman";
color:#C00000'>En préambule, sauf texte juridique dont je n’aurai pas
connaissance, je vous confirme que la ville de Lourdes, comme toute autre
collectivité locale, personne morale ou physique dans ce pays, fixe librement
les invitations qu’elle adresse à la presse »
<i
style='mso-bidi-font-style:normal'> mso-fareast-font-family:Calibri;mso-hansi-font-family:Calibri;mso-bidi-font-family:
"Times New Roman"'>.
Pas besoin de me le rappeler. Je ne me suis
jamais invité quelque part où je n’étais pas convié. Mais quand on est à la
tête d’une collectivité, le souci de tout élu est de bien communiquer quand il
s’agit d’une information qui concerne ses administrés. Nous rappellerons que
nous nous sommes rendus (Marc Lafitte et moi-même) à la <a
href="http://www.lourdes-infos.com/65100lourdes/spip.php?article6864&lang=fr">fameuse
soirée du 14 décembre 2012 des employés de la ville de Lourdes et de la
CCPL à l’hôtel La Solitude parce que nous avions été invités, comme nos
confrères, par le comité d’entraide.
Cela n’a pas empêché l’intolérant Arti de nous faire demander de sortir par
l’employé qui nous avait invité.<span
style='mso-spacerun:yes'> On attend toujours les excuses du
maire-président Artiganave.

4 – Merci à la
CADA !
«  <i
style='mso-bidi-font-style:normal'> mso-fareast-font-family:Calibri;mso-hansi-font-family:Calibri;mso-bidi-font-family:
"Times New Roman";color:#C00000'>Pour que les choses soient claires : mon propos
ne concerne évidemment pas la transmission de documents administratifs qui est
une obligation légale parfaitement encadrée. Cette précision me paraissait
importante à formuler dès lors que vous êtes un adepte de la confusion des
genres et que vous n ’hésitez pas à <b
style='mso-bidi-font-weight:normal'>faire de l’amalgame une arme de
désinformation massive
.
 » Alors oui, soyons clairs !
La transmission de documents administratifs ? Nous ne les recevions plus,
même le service de l’état-civil avait été invité à ne plus nous transmettre
l’état-civil hebdomadaire. Il a fallu
que nous intervenions auprès du référent de la Commission d’accès aux documents
administratifs (CADA) pour que nous soyons destinataires de l’état-civil et des
arrêtés municipaux. Pour le reste (manifestations organisées par la ville donc
avec l’argent des contribuables lourdais
dont nous faisons partie, cérémonies au monument aux
morts, etc.), nous ne recevons rien !!! Ce n’est pas la confusion des
genres ci-dessus évoqué. On ne voit pas où est l’amalgame et l’arme de
désinformation massive. C’est gratuit de le dire. Si nous désinformions
l’actualité lourdaise, nos très nombreux lecteurs ne nous suivraient pas.

5 – L’éclaireur
Artiganave : oui, d’accord pour éclairer, mais alors <span
style='mso-spacerun:yes'> il faut tout dire !

« <span
style='color:#C00000'>Venons-en aux explications que vous me demandez. Pour
éclairer mon propos permettez-moi de commencer par relater un fait qui devrait
non seulement vous intéresser mais également intéresser vos lecteurs.

<span
style='color:#C00000'>Lors de son entrée en fonction, mon nouveau directeur
cabinet a pris l’initiative d’un rendez- vous avec Gérard Merriot que ce
dernier a accepté avant de s’en faire l’écho tardivement et partiellement dans
vos colonnes au détour d’un article.

<span
style='color:#C00000'>Lors de ce rendez-vous, il vous a clairement indiqué que
la ville de Lourdes était prête à vous inviter à tous les points presse et à
vous transmettre tout communiqué émanant de notre collectivité sans aucune
contrepartie. C’était une option soutenue par mon nouveau collaborateur qui
avait fini par obtenir mon accord.

<span
style='color:#C00000'>Manifestement embarrassé, Gérard Merriot a alors décliné
cette proposition au motif que le matraquage en règle du maire, jusqu’à son
entourage personnel, et de toutes les initiatives municipales faisait le succès
de votre support. Ce que vous confirmez clairement dans le dernier paragraphe
de votre lettre qui met à jour votre contradiction pour ne pas dire votre
duplicité
 ».

normal;mso-layout-grid-align:none;text-autospace:none'>Nous avons effectivement
évoqué l’entrevue qu’avait sollicitée le nouveau directeur de cabinet
d’Artiganave. Il souhaitait, c’est vrai et nous ne l’avons jamais caché, un
apaisement des relations. D’autant qu’allaient venir des échéances électorales.
Ne pas pouvoir compter sur les deux principaux sites internet lourdais lui
posait problème. Nous n’avons pas
décliné sa proposition. Nous lui avons dit, comme à d’autres adjoints qui nous
avaient également approché, qu’il y avait un préalable à cet apaisement :
à savoir que le maire de Lourdes nous dise les raisons pour lesquelles, il nous
avait écarté de toute communication municipale et qu’il nous présente aussi ses
excuses. Serge Labordère nous répondit que ce n’était pas possible. D’autant
que nous avions eu<span
style='mso-spacerun:yes'> à cœur de lui souligner que nous tenions à
notre indépendance. Laquelle pour nous vaut de l’or, privilège qui n’est pas
encore assujetti à l’ISF. Nous n’avons jamais parlé de « matraquage en
règle du maire, jusqu’à son entourage personnel et de toutes les initiatives
municipales qui faisait le succès de
notre support ». Le succès, on le
doit davantage à la couverture de l’information qu’à notre épisodique<span
style='mso-spacerun:yes'> rubrique « Bruits et
chuchotements » où, entre
parenthèses, il ne se dit que des choses vérifiées et exactes. Où sont les
démentis ? Au point qu’à la mairie,
Artiganave et ses proches sont toujours à la recherche de la taupe. Nous ne
sommes pas dupes : au départ, la « proximité » artiganavienne
pensait que notre exclusion nous priverait d’une manne d’informations locales
qui impacterait la fréquentation de notre site. Eh bien, normal'>c’est  RATÉ ! Depuis,
notre mise à l’écart, la notoriété de lourdes-infos.com n’a pas été affectée.
C’est un constat. Ce n’est pas dû à notre entrée en résistance.<span
style='mso-spacerun:yes'> On ne perçoit pas la contradiction dont
Artiganave fait état au sujet du dernier paragraphe de notre lettre du 28
février dernier.

normal;mso-layout-grid-align:none;text-autospace:none'> 

normal;mso-layout-grid-align:none;text-autospace:none'> normal'>6 – Faux sondages !

normal;mso-layout-grid-align:none;text-autospace:none'> normal'> 

normal;mso-layout-grid-align:none;text-autospace:none'> "Times New Roman","serif";mso-bidi-font-weight:bold'>Lisons <span
style='mso-bidi-font-family:"Times New Roman";mso-bidi-font-weight:bold'> :
« Mais
la ville de Lourdes ne peut cautionner un support dont la ligne éditoriale
suivie est aux antipodes des dispositions les plus élémentaires figurant dans
le code de déontologie de la profession dont il se réclame !

normal;mso-layout-grid-align:none;text-autospace:none'> normal'> mso-bidi-font-weight:bold'> 

normal;mso-layout-grid-align:none;text-autospace:none'> normal'> mso-bidi-font-weight:bold'>Faux sondages ; photos tronquées, photos détournées,
caricatures, propos haineux, outrages rédactionnels et menace de « représailles
 » à l’adresse d’un fonctionnaire territorial, qui ne saurait être l’otage d’un
tel déballage, sont le lot quotidien d’une rubrique dite de "bruits et
chuchotements" et autres articles qui érige la rumeur en vérité établie et
par là même tente sciemment de tromper le lecteur quand elle ne cherche
délibérément pas à fausser son jugement
"Times New Roman";mso-bidi-font-weight:bold'> ».

normal;mso-layout-grid-align:none;text-autospace:none'> "Times New Roman";mso-bidi-font-weight:bold'> 

normal;mso-layout-grid-align:none;text-autospace:none'> "Times New Roman";mso-bidi-font-weight:bold'>Artiganave compterait-il nous
mettre au pas ? On lui répond : « C’est pas possible !
Mieux vaut la liberté quoi qu’il en coûte ».<span
style='mso-spacerun:yes'> 
Nous ferions alors des faux sondages. Nous
n’avons jamais utilisé le terme de sondages. Nous parlons de consultations.
Rien n’est trafiqué. Ce sont les lecteurs qui s’expriment librement et
anonymement. Ils ne s’étaient pas trop trompés pour les élections législatives
où à un poil près, ils étaient proches du résultat final conclu par une
écrasante victoire de Jeanine Dubié sur le maire de Lourdes, au grand dam de la
« proximité » qui s’était déjà vue attachée parlementaire ».
Photos tronquées : oui. Pourquoi ferions-nous des cadeaux à un élu
qui ne nous en fait pas ?
Caricatures, oui c’est le propre de ce qui attend tout homme politique. Menace
de représailles à l’adresse d’un fonctionnaire territorial : on s’inscrit
en faux. C’est parce que 19 jours après notre demande de nous adresser<span
style='mso-spacerun:yes'> les mêmes documents remis<span
style='mso-spacerun:yes'> à la presse le soir de l’avant-dernier
conseil communautaire, nous n’avions rien reçu et que l’on savait que quelqu’un
avait suggéré de nous les transmettre le plus tard possible, 4 ou 5 jours avant
la date fatidique d’un mois, que l’on a utilisé le terme de « <a
href="http://www.lourdes-infos.com/65100lourdes/spip.php?article7308"><span
style='mso-bidi-font-family:"Times New Roman";mso-bidi-font-weight:bold'>représailles <span
style='mso-bidi-font-family:"Times New Roman";mso-bidi-font-weight:bold'> ».
Puisque l’on se moquait visiblement de nous, nous avions alors mis en ligne <span
class=GramE>l’ information du chèque-cadeau de<span
style='mso-spacerun:yes'> 15 euros qui a tant fait jaser.

normal;mso-layout-grid-align:none;text-autospace:none'> "Times New Roman";mso-bidi-font-weight:bold'> 

7 – Refus de droit de
réponse

« <i
style='mso-bidi-font-style:normal'> mso-fareast-font-family:Calibri;mso-hansi-font-family:Calibri;mso-bidi-font-family:
"Times New Roman";color:#C00000'>Lorsque la ville demande à ce que soit publié
un droit de réponse, elle est parfois confrontée à un refus et se trouve
obligée d’avoir recours à l’injonction juridique pour vous placer devant vos
obligations
 »<span
style='mso-ascii-font-family:Calibri;mso-fareast-font-family:Calibri;
mso-hansi-font-family:Calibri;mso-bidi-font-family:"Times New Roman"'>.

La seule fois où nous nous sommes permis de surseoir
provisoirement à un droit de réponse, c’est à <a
href="http://www.lourdes-infos.com/65100lourdes/spip.php?article6857">la suite du
clash de la soirée du 14 décembre des employés communaux et de la CCPL.
Pourquoi ? Parce qu’Artiganave ne faisait pas allusion à l’incident qu’il
avait lui-même provoqué à notre endroit. Et que de surcroît <span
style='mso-spacerun:yes'> lui n’était pas pressé de répondre à <a
href="http://www.lourdes-infos.com/65100lourdes/spip.php?article1426">notre
lettre ouverte du 8 mai 2010. On sait 
ce que contient  l’article 13 de
la loi du 29 juillet 1881. En tout cas, notre temporisation <span
style='mso-spacerun:yes'> nous a permis de connaître épistolairement le
cabinet d’avocats parisiens <span
class=SpellE>Drai et de constater ensuite qu’Artiganave demandait au
conseil municipal de voter sa protection
fonctionnelle . Bref que le maire de Lourdes <span
style='mso-spacerun:yes'> se tournerait vers les contribuables lourdais pour
se faire payer les éventuels frais de justice et d’avocats.

8 – Opérations de
communication : où est l’intérêt de la ville ?
<b
style='mso-bidi-font-weight:normal'> mso-fareast-font-family:Calibri;mso-hansi-font-family:Calibri;mso-bidi-font-family:
"Times New Roman"'>

« <span
style='color:#C00000'>La décision de ne plus associer votre site internet aux
opérations de communication conduites par la ville est à l’origine de
surenchères et de dérives aggravées de votre rédacteur photographe permanent au
point d’atteindre un point de non-retour ».

Le maire préfère dépenser l’argent public sur des sites
confidentiels comme celui de Cathy Gautier, Pyrenews,
lui octroyant des milliers d’euros ou sur un site basé
à Juillan (achat d’espaces de 60 000 euros HT ramené grâce à nous<span
style='mso-spacerun:yes'> à 27 000 euros) et <span
style='mso-spacerun:yes'> dont on se demande ce qu’en tire en retour la
ville de Lourdes. Visiblement Artiganave
préfère régler des comptes que de 
s’assurer pour sa cité un  retour
sur investissements. On a bien compris que pour avoir droit à ses largesses (en
fait c’est largement public), il faut être aux ordres.

8 – La majorité
municipale, parlons-en !

« <span
style='color:#C00000'>Dans ces conditions, la majorité municipale est plus que
jamais solidaire de son Maire dans toutes les démarches qu’il entreprendra pour
dénoncer des pratiques inadmissibles
 ».

La majorité solidaire ! C’est tout simplement risible.
Il suffit de parler à de nombreux équipiers 
d’Artiganave pour savoir qu’ils regrettent vivement ce conflit et ils
pointent le<span
style='mso-spacerun:yes'> doigt <span
style='mso-spacerun:yes'> là où ça fait mal. La plupart <span
style='mso-spacerun:yes'> d’entre eux nous disent<span
style='mso-spacerun:yes'> qu’ils n’approuvent pas<span
style='mso-spacerun:yes'> notre éviction et que ça risque de coûter
cher électoralement. La plupart  sont eux
aussi  mis à l’écart de la vie municipale
et combien de fois nous ont-ils dit  que
c’est grâce à lourdes-infos qu’ils apprennent beaucoup de choses. De majorité
municipale, il n’y a plus. Les bureaux municipaux sont devenus <span
style='mso-spacerun:yes'> rares. Le maire ne gouverne qu’avec<span
style='mso-spacerun:yes'> sa squelettique<span
style='mso-spacerun:yes'> garde rapprochée.

9 – Pétition

« <span
style='color:#C00000'>Au-delà de cette majorité, je dois vous dire qu’aucun
Lourdais ne m’a jamais arrêté en ville ou n’a pris l’initiative d’une pétition
me demandant instamment de vous réinviter aux points presses municipaux ».

Nous n’avons jamais pensé faire une pétition. Personne , en ville,<span
style='mso-spacerun:yes'> ne nous a demandé non plus de signer un appel<span
style='mso-spacerun:yes'> pour encourager Artiganave à briguer un
nouveau mandat. 25 ans à la mairie, c’est long. Peut-être un peu trop.

10 – Résultat des
courses : on ignore toujours  les
raisons de notre éviction !

Dans sa conclusion , le maire de
Lourdes, celui-là même qui vantait notre professionnalisme en 2008, se dit
convaincu d’avoir répondu à nos questions. Prenons cela pour de l’ironie. Et il
ajoute qu’il se réservait le droit de diffuser la présente. Ce qu’il a fait
depuis hier après-midi (jeudi 18 avril 2013). Aux destinataires que nous avons <span
style='mso-spacerun:yes'> cités hier, ont été ajoutées des<span
style='mso-spacerun:yes'> associations locales.

G.M.<i
style='mso-bidi-font-style:normal'>

normal'> Calibri;mso-hansi-font-family:Calibri;mso-bidi-font-family:"Times New Roman"'> 

<span
style='mso-ascii-font-family:Calibri;mso-fareast-font-family:Calibri;
mso-hansi-font-family:Calibri;mso-bidi-font-family:"Times New Roman"'> 

Calibri;mso-hansi-font-family:Calibri;mso-bidi-font-family:"Times New Roman"'> 

Calibri;mso-hansi-font-family:Calibri;mso-bidi-font-family:"Times New Roman"'>