A Louey : R.C.L.M. Bat Saint Pé de Bigorre 27 à 0 - Mi temps 20 à 0

Pour les vainqueurs : 4 essais Travès 4ème Griffon 27ème Notario 39 et 42èmes minutes 2 transformations et 1 pénalité de Notario.

Arbitre : Monsieur Claude Guilhourre (Comité du Béarn) - Délégué Monsieur Victor Martinerie.

R.C.L.M. : Prat Heguilustoy Carmouze Maudou Turon Sans (cap) Noguès Marregot Tajan Notario Dupouts Candebat Traves Griffon Dulout. Remplaçants : Escos Marin Tedeschi Bidaut Thomas Avice Mengelle

St Pé de Bigorre : Foulon Cano Sans (cap) Flan Azevedo Baudelet Latre Da Costa Nison Carladous Aberet Bidou Lacaze Carpentier Maquart. Remplaçants : Crampou Fouque Larre.

Après la minute de silence observée à la mémoire de Monsieur Pierre Massiera, le père de Michèle Pédrico, dirigeante, épouse du Président Charles Pédrico et mère de Pascal et Christophe, talonneur et demi-d'ouverture du R.C.L.M., Monsieur Guilhourre a sifflé le coup d'envoi. L'équipe de Saint-Pé est entrée sur le terrain avec l'espoir de faire autre chose que de la figuration au cours de la rencontre. Chez les locaux, pas d'affolement, on a joué « tranquille » en gardant quelques réserves pour les joutes à venir, et notamment la demi-finale du Challenge Béarn-Bigorre qui se déroulera samedi prochain contre Laloubère. Étant bien assis à la première place de la poule, il n'y avait pas péril en la demeure. Canaliser les ardeurs de l'adversaire et rester vigilants étaient les consignes données par les entraineurs. La force tranquille des rouges et noirs a eu vite fait de prendre l'ascendant sur l'équipe visiteuse, par trois essais en première période et une pénalité. 20 points à la pause citron cela suffisait. A la reprise Notario a inscrit son deuxième essai qu'il transformait, tout comme en première mi-temps. La citadelle ne s'est pas ébranlée dans les terres du Marquis de Bénac, malgré les coups de boutoirs de l'adversaire et les quelques marrons (c'est de saison) bien inutilement échangés. Les équipiers de Thierry Escos et Rémi Sans qui se sont partagés les devoirs de capitaines, ont laissé passer l'orage, en contenant les Saint Péens au plus loin de leur ligne.

(Henri Soulet)