LUZ-SAINT-SAUVEUR
A La maison des Retraites
"Les Ramondias" :
des résidents gâtés

La maison de retraite "Les Ramondias" à Luz Saint-Sauveur est un véritable paradis pour ses 72 pensionnaires. Ce mercredi 17 octobre, cet établissement était en fête à l'occasion de la "Semaine Bleue" patronnée par le Conseil Général des Hautes-Pyrénées. Cette maison de retraite, fondée en 1976 par les soeurs de Notre-Dame de la Sagesse, est située au coeur de la commune de Luz. Elle est aujourd'hui gérée par un conseil d'administration composé d'élus des villages du canton de Luz. Le chanoine Charriez en est le président. Cette maison est dirigée par Sylvie Brimbert qui a succédé à M.Seioreto en 2004. Elle a pour adjoint Michel Docarmo, également responsable des finances. Pour s'occuper des 72 résidents, la directrice sait qu'elle peut compter sur les 42 employé(e)s dévoué(e)s et disponibles. Il est vrai qu'avec une telle "chef d'équipe" pour qui le confort de ses « clients » est une priorité, le personnel ne peut que suivre l'exemple venant d'en haut. La préparation de cette journée festive a été très lourde pour les responsables qui limitent à une ou deux dans l'année le nombre d'animations de ce type. Cette journée du 17 octobre avait pour thème "Portes ouvertes sur le Far-West". Tout le personnel, y compris la directrice, était revêtu de tenues plus ou moins "cow-boy". Après la célébration de la messe en la chapelle Notre-Dame de l'Espérance, les tables étaient prises d'assaut (107 convives) pour déguster l'excellent repas préparé avec soin par les cuisiniers de la maison. Parmi les invités, on notait Jacques Béhague, conseiller général du canton; Jacques Dussautour, adjoint au maire de Luz; Michel Seioretto, ancien directeur de l'établissement, venu tout spécialement de Toulon pour vivre cette journée en compagnie de tout le personnel et des résidents. L'après-midi a été consacré au tir à l'arc, puis à la démonstration de danses "country" assurée par la troupe lourdaise de Maryse Gaston. Cette journée restera longtemps dans les mémoires des pensionnaires des "Ramondias" ainsi que des visiteurs. (Gérard Arramon)

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