Francis Touya et Albert Malfait,
deux hommes de gauche expliquent leur choix.

 

L’ouverture souhaitée par Gérard Trémège a conduit les deux hommes de gauche que sont Francis Touya et Albert Malfait à se rapprocher de  l’équipe du maire sortant et sans doute à faire partie de la liste qu’il conduira pour les prochaines municipales.

« Passionné, dynamique, disponible, au service des Tarbais, homme de parole et respectueux des autres »,  Francis Touya, tout en revendiquant une sensibilité de gauche, ne tarit pas d’éloges sur Gérard Trémège : « Son bilan sur Tarbes est exceptionnel… comment attaquer un bilan aussi remarquable ? En politisant le débat, c’est ce que veut faire la gauche…Mais Tarbes n’est pas un enjeu national mais bien local et je souhaite que les valeurs humaines et non politiciennes soient le fil conducteur des actions à venir. Gérard Trémège a démontré avec son équipe qu’il avait des qualités de cœur, de solidarité, de démocratie… c’est cet humanisme qui m’a fait me rapprocher de lui… il m’a demandé de réfléchir à un projet sportif, nous le présenterons à l’ensemble du mouvement sportif le 25 janvier, il sera la base de réflexions et d’échanges avoir d’être présenté aux Tarbaises et aux Tarbais… je souhaite développer la pratique du sport pour tous, les jeunes, les défavorisés, les femmes, les seniors… cela pourrait se matérialiser par une carte sport. En attendan,t j’aiderai Gérard Trémège, je serai à ses côtés avec mes valeurs et sans doute sur sa liste dont la moitié sera composée de gens qui viennent d’autres bords comme moi ».

Pour Albert Malfait, l’ancien « arsenaliste », « je suis sûr d’avoir fait le bon choix en rejoignant Gérard Trémège, car c’est un maire qui a un bilan super… je suis un homme libre, toujours de gauche, mais j’ai découvert un groupe dans lequel je me sens très bien tout en gardant mon identité…j’y ai trouvé des valeurs  différentes de celles que je connaissais jusqu’à présent avec la gauche… je suis sidéré qu’on puisse faire l’amalgame entre le comportement de Sarkozy et la gestion d’une ville comme Tarbes… je suis fier de pouvoir un jour participer à la gestion de ma ville… je sens que l’intelligence et le bons sens des Tarbais feront bien les choses…mais si jamais la gauche revenait, j’ai peur que l’on soit confronté à un recul économique dramatique. Quant au GIAT, ce sera une vitrine notamment sur le plan environnemental puisqu’un éco- quartier y est prévu…et si Gérard Trémège n’avait pas racheté le site, il serait à l’abandon, recouvert d’herbes hautes… j’apprécie un maire comme lui, qui fonce, qui ne fait pas de baratin mais qui agit… »

 

                                                                                              Josiane PEREZ

Mis en ligne vendredi 11 janvier 2008-19h00