Le programme de gauche commenté.... (Ph. Alain Bouchard)

" Nous on attaque personne mais si on nous attaque on répond" nous dit le premier magistrat de la ville. Tout en niant avoir tenu les propos qui lui sont prêtés, Gérard Trémège parle ouvertement de " mensonge " et accuse Benjamin Verdeil d'imaginer "une altercation qui n'a pas eu lieu." Le maire a le sentiment d'être l'objet " d'une chasse à l'homme. " Il souhaite que " la campagne ait un autre niveau. " Pour sa part, il présente " un bilan et un projet " et s'abstient de " toutes attaques personnelles. "

Et de rappeler un certain nombre de faits autres que ce dernier communiqué comme le contenu de la liste de gauche, le récent feuillet " Construisons l'avenir de Tarbes ", un article dans Le Parisien du 25 février où l'on peut s'interroger s'il y a " erreur matérielle, manipulation ou mensonge " notamment sur le taux de chômage indiqué à 19.4% au lieu de 8.6%.

En fait, il a été retenu le taux de 1999, date où siégeait une municipalité de gauche avec notamment Madame Robin Rodrigo. (Voir les chiffres clés de Tarbes ) Nous pouvons aussi noter tract des Cyclomotivés, le comportement d'une association de gauche à l'égard du suppléant d'Andrée Doubrère aux cantonales, le contenu du site Web de Frédéric Laval, etc… Gérard Trémège y voit " une volonté de nuire à la personne. " En parlant du conflit avec Benjamin Verdeil, il précise " Ça ne m'intéresse pas de m'attaquer au sous fifre de Monsieur Glavany. Les Tarbais ne méritent pas cette campagne, ils méritent mieux. " Et en montrant le programme de la liste de gauche il dit " à toutes les pages je suis flingué. "

" Je demande à Jean Glavany de mettre de l'ordre dans son camp. Si on ne respecte pas son adversaire, c'est qu'on ne respecte pas ses électeurs. La ficelle est un peu grosse. " Et pour conclure il précise : " Je ne suis pas Monsieur Sarkozy. C'est le maire de Tarbes et son équipe, pas Sarkozy " qui refait les rues, les maisons des associations, etc….

Bref ! Mauvaise foi quand tu nous tiens !
Et une campagne électorale pour défouloir… cela manque d'un peu de tenue à défaut de retenue.

A revoir :

• Giat : une affaire de menteurs

Cliquez sur l'image pour agrandir La campagne personnelle du buraliste. (Ph. L. Dollo)

Au fond, l'entrée du parking de la résidence dégagé avec 2 "quilles" et stationnement libre devant le magasin (Ph. L. Dollo)

La mode vestimentaire suit les saisons. Mais il y en a une autre qui suit les campagnes électorales. Ce sont les jérémiades et plaintes en tout genre. Une sorte de défouloir pour ceux qui n'ont pas grand-chose à dire.
Ainsi ce buraliste de la rue Georges-Lassalle qui se sent harcelé par le maire de Tarbes n'hésite pas à harceler à son tour par un affichage de ses intentions de vote et critiques à l'égard du maire et de conseillers municipaux. Pourquoi ?

Nous sommes allé sur place pour vérifier les propos du Monsieur bien connu sur la place de Tarbes pour son caractère.

• Les " quilles " ont été installées, à la demande des résidents pour sécuriser la sortie du parking de la résidence d'autant que, effectivement, le buraliste prenait les lieux pour son garage. Rien d'anormal. La même demande avait été formulée il y a 7 ans rue Gaston Dreyt par voie de pétition et cela fonctionne toujours très bien sans que personne ne s'en plaigne. Beaucoup d'autres lieux de Tarbes sont ainsi équipés souvent à la suite d'une concertation dans des réunions de quartier. Le buraliste a-t-il participé aux réunions de quartier ?
• Les clients ont maintenant la possibilité de s'arrêter sur le côté du bureau de tabac sans risquer une amende. Ce sont des places de parking en moins mais un confort pour les clients et le commerce. Donc un avantage pour tout le monde par rapport à la situation antérieure.
• Les barrières sur le trottoir opposé… Où est le problème ? Le stationnement étant unilatérale il n'est pas autorisé sur le côté où sont installés les barrières. Elles constituent même une sécurité comme celles à la sortie des écoles.