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Je suis maire jusqu'au 16 mars 2008. "
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Une
réponse à la gauche qui aurait voulu mettre la
vie de la ville de Tarbes entre parenthèses en attendant
sans doute son arrivée aux affaires. Gérard Trémège
ne l'entend pas de cette oreille. Il " entend bien poursuivre
et assumer les responsabilités qui sont " les
siennes.
Après
avoir fait l'inventaire de tout ce qui a été fait
depuis 2001, il nous parle du rôle du maire qui, s'il
ne le dit pas ouvertement, explique que c'est un travail à
plein temps qui ne se partage pas avec Paris. " On attend
tout du maire " nous dit-il. " Le mandat de
maire est un mandat extraordinaire qui nous rend proche des
gens. " Le maire est appelé à traiter
des problèmes d'emploi, de logement, d'affaires financières,
de divorce, d'abandon, etc….Et il précise que "
à l'écoute des gens, on ne peut pas être
le même " au bout de 7 ans.
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Puis il revient sur les affaires polémiques dites " électoralistes
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- La crèche
de 20 places en centre ville n'est pas une décision d'aujourd'hui.
Il a fallu indemniser la commerçante qui avait un bail commercial,
passer contrat avec la CAF, etc… Tout a débuté au
printemps 2006…
- Pour les vélos
gratuits… Là aussi il a fallu trouver un local, faire libérer
ce local par le mandataire judiciaire, acquérir 100 vélos,
etc….
- La bourse pour
le permis de conduire, qui existe dans d'autres collectivités
a nécessité de passer une convention avec les auto-écoles
et l'association " Passage protégé " et une
ligne budgétaire. Ce n'est pas le fait d'un coup de tête
électoraliste.
Et
il rappelle que d'autres, pendant ce temps, font des études et
encore des études comme celle sur les déplacements urbains
pour un montant de 30 millions d'Euros. " Pendant qu'on étudie
on agit pas ."
Et puis il revient
sur le GIAT où on l'accuse d'avoir fait tomber le mur pour raisons
électorales alors que ceci rentre dans le plan global d'aménagement
notamment de la rue des Forges.
Ensuite, il aborde
l'écologie et le développement durable. Pour lui "
le XXIème siècle sera le siècle de l'écologie.
" Il veut "engager la ville de Tarbes." Il met
en place " un cadre de réflexion " dont nous donnons
ci-joint l'ébauche détaillée.
Il
présente des comptes en bonne santé avec une réduction
de l'endettement sans pour autant réduire les investissements
et les aménagements de la ville. Les aides aux associations
ont progressé de 54 %. De 2001 à 2008, il y a eu quatre
années avec une progression de la fiscalité de Zéro
et une progression moyenne de 1,03 % soit inférieure à
l'inflation pendant que d'autres collectivités locales voyaient
une progression de leur fiscalité de + 23 à 25 %. |
Gérard
Trémège et F.X. Brunet |
Mais
pour l'avenir, pour les 6 prochaines années, il sera impossible
de tenir un taux de progression de Zéro compte tenu de l'augmentation
des taux d'emprunts, des frais de personnel (1 M €), etc….
Il
fait l'inventaire des grands travaux qui restent à réaliser
comme le Parc de Laubadère, la halle Brauhauban, un certain nombre
de rues, la maison des associations à l'Arsenal, le Musée
et ses réserves, le haras en convention avec le Ministère
de l'agriculture, etc…
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