La SEPANSO
a-t-elle besoin de financement ? Nous pourrions croire que la SEPANSO
a besoin d’argent. Elle vient d’engager deux procédures, l’une contre
le syndicat mixte du Haut-Béarn, la structure juridique qui porte
l'Institution patrimoniale du Haut Béarn ( On croit rêver ! Surtout lorsque l’on sait que cette fédération d’associations « écologistes » est subventionnée et paie donc un avocat avec, entre autres, l’argent du contribuable pour en demander encore plus à l’Etat, c'est-à-dire toujours aux contribuables. Et le motif en est presque ubuesque. Pour le Syndicat Mixte ( Pour ce
qui concerne l’Etat, selon le même avocat de la SEPANSO, il aurait « failli
dans sa mission sur une période bien plus longue. Il a repris la main
depuis peu en mettant fin à sa politique de délégation vers l' Voilà qui
devient passionnant à plusieurs titres. 1/ en nous
faisant remonter dans l’histoire quatorze années en arrière. Et pas
n’importe lesquelles puisque la SEPANSO a participé aux travaux de l’ 2/ en nous
apportant la preuve de son ignorance et son incompétence en matière
d’ours. En effet, l’ Du côté
de l’ Il sera effectivement utile de
clarifier les financements des uns et des autres. De nombreux rapports
de l’inspection de l’environnement comme de l’inspection des finances
laissent planer quelques doutes sur le sujet en ce qui concerne les
associations. Les parlementaires, au cours de plusieurs rapports de
mission ont également pointé du doigt certaine pratique associative
avec certains services de l’Etat notamment des services déconcentrés
comme les DIREN. De son côté, Alors que le plan ours coûte aux contribuables près de 2,5 millions d’Euros en charges directes, une association réclame 1,3 millions d’Euros parce qu’un ours est mort et au motif qu’elle a subi un préjudice. Voilà une affaire qui pourrait bien devenir comique lorsque l’on sait que l’ADDIP est en train de préparer une série de rapports sur les mensonges entretenus autour des importations d’ours qui, selon certains de ses dirigeants pourrait bien relever du « faux et usage de faux. » A une période de crise financière et économique, où chacun reste inquiet pour son emploi et son avenir, ce genre de prétention et de comportement associatif « écologiste » semble relever de l’irresponsabilité…. à moins que ce ne soit qu’un moyen de bénéficier d’un racket légal sur l’argent des contribuables en sus de subventions. Et si d’autres associations se mettent à avoir les mêmes prétentions…. Nous n’avons pas fini ! Au final, les demandes de la motion de l’ADDIP ne sont elles pas les plus raisonnables et réalistes ? En tout cas les plus avantageuses pour les contribuables. En attendant, la grande histoire de l’ours slovène aux Pyrénées continue de s’écrire. Les Romantiques n’en avaient pas fait autant. (Louis Dollo) |
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mardi 4 novembre 2008-7h45 |