Communiqué de presse L’assemblée plénière
prend fin ce dimanche 9 novembre en milieu de journée, après le discours
de clôture du cardinal Vingt-Trois et la messe dominicale concélébrée
par les évêques de France à la grotte des Apparitions. Lourdes, dimanche 9 novembre 2008.
A l’occasion de cette assemblée plénière
de novembre 2008, les évêques ont décidé la mise en place de deux nouveaux
groupes de travail. Il s’agit d’un groupe sur « L’enseignement
catholique supérieur » et d’un autre intitulé « De nouvelles formes
de pauvreté : quelles conséquences dans la vie des diocèses ? » L’assemblée plénière a élu le cardinal
Jean-Pierre Ricard, archevêque de Bordeaux, pour présider le groupe
de travail sur l’Enseignement catholique supérieur et Mgr Michel Pansard,
évêque de Chartres, pour la présidence du groupe de travail « De nouvelles
formes de pauvreté : quelles conséquences dans la vie des diocèses ? » Le cardinal André Vingt-Trois, archevêque
de Paris et président de la Conférence des évêques de France, a conclu
ce matin les travaux de cette assemblée plénière de novembre 2008. Revenant d’abord, dans son discours
de clôture, sur « l’avenir de nos églises », il a appelé à
« faire vivre nos églises » : « Il ne s’agit pas
pour nous, chrétiens, d’être les héritiers précautionneux des souvenirs
d’une religion qui a jadis irrigué nos campagnes, mais d’être les acteurs
vivants de la fécondité actuelle de ce patrimoine (…) Nos églises,
toutes nos églises, seront ouvertes et vivront si nous les habitons
de notre vie et de nos prières, si elles sont vraiment la maison où
se rassemblent les chrétiens pour la rencontre de Dieu ». Evoquant la réflexion des évêques sur
le sujet « Indifférence religieuse et visibilité de l’Eglise »,
le cardinal Vingt-Trois a précisé que « Si nous réfléchissons sur
la visibilité de l’Eglise, ce n’est pas pour mettre au point une nouvelle
méthode de marketing évangélique. Nous ne travaillons pas sur l’image
de l’Eglise que nous voulons donner. Nous travaillons sur notre mission
de rendre visibles la Promesse de Dieu et les fruits de la grâce à travers
chacune de nos existences. La visibilité authentique de l’Eglise en
ce monde, c’est la visibilité du corps ecclésial, de la vie de chacun
de ses membres et de leur communion dans la foi vécue et célébrée ensemble ». Par ailleurs, suite aux travaux de l’assemblée plénière sur
les questions bioéthiques, le président de la Conférence des évêques
de France a souligné que les évêques « [se réjouissent] de la passion
des chercheurs et des applications de leurs découvertes pour soulager
ceux qui souffrent. Nous voulons les encourager et soutenir leurs efforts.
Les avertissements que nous adressons à nos contemporains ne sont donc
pas l’expression d’une volonté de réduire les capacités humaines aux
limites d’une morale religieuse, moins encore de brider les capacités
de recherche de l’intelligence humaine. Ils expriment notre espérance
enracinée dans la foi chrétienne : que l’homme est capable de surmonter
ses désirs immédiats et la frénésie de tout tenter ; qu’il est
capable de domestiquer le monde et la nature, non pour en faire des
objets disponibles pour ses appétits, mais pour en faire un moyen de
croissance dans la liberté personnelle et dans l’amour de nos semblables ». Le cardinal Vingt-Trois s’est également exprimé sur la capacité
de l’Eglise « à appeler des ouvriers pour la moisson ». Tout
en rendant grâce « pour le nombre imposant d’hommes et de femmes
qui se donnent sans compter pour la vie des communautés chrétiennes
et pour la mission », il a évoqué la question de la « relève »
de ces animateurs. Il s’est en particulier attardé sur l’appel qui concerne
les ministères ordonnés « qui doit être notre préoccupation première ». En terminant son discours, il est revenu sur l’éventuelle extension
du travail dominical, sujet qu’il avait abordé dès l’ouverture de cette
assemblée plénière : « Le dimanche, Jour du Seigneur, sera
respecté et reconnu par tous (…) si nous vivons de telle manière qu’il
ne soit pas dans notre société un jour ordinaire parmi les jours, parce
qu’il n’est pas un jour ordinaire dans notre propre vie ». Cette assemblée plénière de novembre 2008 s’achèvera, en cette
année du Jubilé des Apparitions, avec la messe dominicale concélébrée
par les évêques à la Grotte en fin de matinée. En ligne sur le site www.eglise.catholique.fr :
les discours d'ouverture et de clôture, des vidéos exclusives proposant
des retours sur chaque journée et des vidéos réalisées par KTO, des
éclairages sur les travaux des évêques. Discours
de clôture du cardinal André Vingt-Trois Hémicycle Sainte-Bernadette
– Lourdes – 9 novembre 2008 Chers Frères, Au terme de cette assemblée, je veux
d’abord vous inviter à l’action de grâce. Nous pouvons nous réjouir
du travail que nous avons accompli et, après Dieu, j’en remercie en
premier les collaborateurs et les experts qui nous ont aidés comme
aussi tout le personnel du Secrétariat général et des Domaines de
Lourdes. Nous avons approfondi notre sens de l’Église et de sa mission
en ce temps.
Il y a bientôt trente ans, la célèbre
image électorale de la « force tranquille » était l’église
d’un village dans un paysage français bucolique. Sans doute, le spécialiste
de marketing chargé de cette campagne savait-il que cette image rejoindrait
les tréfonds de la mémoire collective inconsciente de l’électorat
français, quelles que fussent, par ailleurs, ses convictions et ses
croyances. Elle exprimait l’intégration profonde de la foi chrétienne
dans la culture et la géographie de notre pays et dans sa mémoire. En réfléchissant sur l’avenir de nos
églises, nous avons pressenti que, si elle n’est pas complètement
obscurcie, cette mémoire est bien affaiblie. Quel que soit l’attachement
de nos villages et des municipalités à leurs églises, la signification
spécifique et le symbolisme de celles-ci échappent à beaucoup. Le
monument demeure, mais la réalité qu’il signifie, suppose que le peuple
qu’il peut accueillir, donne vie à son message, faute de quoi il n’en
resterait que le mémorial des artistes anciens. Ce groupe de travail
nous a fourni, me semble-t-il, une bonne parabole de la condition
chrétienne dans la société de notre temps. Il ne s’agit pas pour nous, chrétiens,
d’être les héritiers précautionneux des souvenirs d’une religion qui
a jadis irrigué nos campagnes, mais d’être les acteurs vivants de
la fécondité actuelle de ce patrimoine. Nous ne sommes pas les gardiens
des trésors artistiques dont on ne voit que la beauté, et encore sans
en comprendre toujours le sens. Nous ne sommes pas davantage les témoins
historiques des valeurs humanistes passées, jadis inspirées par la
foi chrétienne. A quoi bon ressasser comme des invocations les impératifs
du respect de la personne humaine, si nous n’étions pas en même temps
les acteurs sociaux qui mettent eux-mêmes en œuvre ces impératifs
et les serviteurs de cette dignité auprès des personnes les plus vulnérables ? Aujourd’hui, beaucoup de catholiques
vivent encore en référence à une société qui, pour être laïque, n’en
soutenait pas moins une vision de la dignité humaine héritée de l’humanisme
chrétien, parfois revisité par les philosophes des Lumières ou les
moralistes d’un XIXe siècle qui n’en a jamais manqué. Ils
attendent de la société qu’elle soit la gardienne de cette vision
de l’homme tout en prévoyant, par une loi justificative, que chacun
puisse y déroger selon ses goûts, ses besoins ou ses souffrances.
Ils attendent de l’Église qu’elle veille à cette mission de la société
et qu’elle la supplée au besoin, sans manquer non plus de fournir
la justification des transgressions. Le pluralisme religieux et culturel
qui marque notre pays en ce XXIe siècle nous invite à plus
de lucidité et de courage. Le temps est venu où la transmission de
la vision de l’homme que nous recevons de la foi ne peut plus être
déléguée aux corps constitués, civils ou religieux. Elle est la tâche
et la mission de chacun. Nos églises, toutes nos églises, seront ouvertes
et vivront si nous les habitons de notre vie et de nos prières, si
elles sont vraiment la maison où se rassemblent les chrétiens pour
la rencontre de Dieu. C’est à chaque chrétien, à chaque groupe de
chrétiens, de manifester son attachement à son église par l’usage
qu’il en fait. De même, la haute idée que l’Évangile nous donne de
la vocation et de l’avenir de l’homme sera prise en considération
si, et seulement si, chaque membre de l’Église, selon son état et
à la mesure de ses forces et de ses faiblesses, prend à cœur de mener
une vie renouvelée par
Cette conviction d’être dépositaires
d’une vision de l’homme qui doit lui assurer une vie meilleure dès
ici-bas, ne nous pousse pas à ce que certains aiment à nommer un « repli
identitaire », au contraire. L’écoute de Si nous réfléchissons sur la visibilité
de l’Église, ce n’est pas pour mettre au point une nouvelle méthode
de marketing évangélique. Nous ne travaillons pas sur l’image de l’Église
que nous voulons donner. Nous travaillons sur notre mission de rendre
visibles la Promesse de Dieu et les fruits de la grâce à travers chacune
de nos existences. La visibilité authentique de l’Église en ce monde,
c’est la visibilité du corps ecclésial, de la vie de chacun de ses
membres et de leur communion dans la foi vécue et célébrée ensemble. Mais que pouvons-nous apporter dans
ce monde ? Quel est finalement le message que nos vies s’efforcent
de rendre visible à travers les choix et les comportements de chaque
jour ? Comme notre religion est une religion de liberté et d’amour,
notre message est un message de liberté et d’amour. L’amour de Dieu
nous a libérés dans le Christ et nous avons reçu un Esprit qui fait
de nous des fils dans la liberté : « C’est pour que nous restions libres
que le Christ nous a libérés. » (Gal. 5, 1) Si nous sommes
libérés ce n’est pas pour nous soumettre à nouveau à l’esclavage d’un
conformisme social qui ne supporte pas plus les paroles qui éclairent
que les paroles qui dérangent. Nous sommes fiers de notre liberté
et nous voudrions la faire partager à tous. Mais cette liberté souveraine,
avant d’être un droit, est une mission. Elle nous est donnée, mais
nous devons la préserver et la développer par notre capacité à choisir
ce qui est bon pour nous et ce qui est bon pour l’homme, et de rendre
ce choix possible au plus grand nombre. C’est une liberté absolue
mais qui est régulée et mesurée par l’amour. Ainsi, nous manifestons
que la liberté de l’homme n’est pas licence, mais combat pour un plus
grand amour. Ce combat est celui du discernement spirituel. Nous recevons
tout, mais nous ne pouvons pas tout faire : « Tout
est à vous, mais vous êtes au Christ et le Christ est à Dieu. »
(I Cor. 3, 22). Notre travail sur les questions de
bioéthique nous a confrontés à cette règle d’or de la liberté humaine :
tout ce qui est techniquement possible n’est pas forcément bon pour
l’accomplissement de la vocation humaine. Et la règle du discernement
n’est pas seulement d’éviter les nuisances ni les souffrances. Elle
est de promouvoir un usage de l’univers, de notre intelligence et
de ses prouesses qui soit au service de l’amour, c’est-à-dire du don
de soi. Certes, la liberté et l’amour ne sont pas l’exclusivité des
chrétiens ni même des croyants. L’une et l’autre sont inscrits au
cœur de tout homme, au moins sous la forme d’un désir et d’une espérance.
C’est pourquoi nos convictions sur la dignité de la personne humaine
ne sont pas une sorte de particularisme religieux. Elles s’adressent
à toute conscience humaine droite. Elles s’enracinent dans la certitude
que tout homme est accessible à leur message. Nous nous réjouissons de la passion
des chercheurs et des applications de leurs découvertes pour soulager
ceux qui souffrent. Nous voulons les encourager et soutenir leurs
efforts. Les avertissements que nous adressons à nos contemporains
ne sont donc pas l’expression d’une volonté de réduire les capacités
humaines aux limites d’une morale religieuse, moins encore de brider
les capacités de recherche de l’intelligence humaine. Ils expriment
notre espérance enracinée dans la foi chrétienne : que l’homme
est capable de surmonter ses désirs immédiats et la frénésie de tout
tenter ; qu’il est capable de domestiquer le monde et la nature,
non pour en faire des objets disponibles pour ses appétits, mais pour
en faire un moyen de croissance dans la liberté personnelle et dans
l’amour de nos semblables. Nous partageons ainsi la réflexion
de Benoît XVI : « Quand
les hommes se proclament propriétaires absolus d’eux-mêmes et uniques
maîtres de la création, peuvent-ils vraiment construire une société
où règnent la liberté, la justice et la paix ? N’arrive-t-il
pas plutôt – comme nous le démontre amplement la chronique quotidienne
– que s’étendent l’arbitraire du pouvoir, les intérêts égoïstes, l’injustice
et l’exploitation, la violence dans chacune de ses expressions ?
Le point d’arrivée, à la fin, est que l’homme se retrouve plus seul
et la société plus divisée et confuse. »
[1]
. Ce message peut intéresser l’humanité
dans la mesure où chacune de nos existences, conduite par la liberté
et l’amour des enfants de Dieu, donne un signe lisible, visible, de
la joie promise et donnée par Dieu. C’est notre engagement au service
de la justice et de la paix, notre aptitude à faire face aux contraintes
de l’existence, notre endurance dans l’adversité, notre confiance
en l’humanité aimée et rachetée par Dieu, qui sont notre véritable
dignité et qui peuvent devenir la dignité de tout homme.
Certains observateurs attentifs de
nos travaux ont cru remarquer que notre présente assemblée était moins
tournée vers les affaires intérieures de l’Église et plus attentive
aux questions de notre temps. Peut-être auraient-ils pu aussi remarquer
que les sujets approfondis ici avec un certain succès sont précisément
les fruits des groupes de travail dont nous avons décidé la création
il y a trois ans. Cette première étape de notre réorganisation a demandé
du temps et nous voyons aujourd’hui que ce temps consacré à notre
manière de travailler avait une finalité qui n’était pas seulement
le désir de changer, mais le souci d’adapter nos instruments et nos
méthodes à une nouvelle période de l’évangélisation. Nous voyons maintenant comment cette
transformation peut porter du fruit. Il s’agit pour nous de continuer
cet effort et de lui permettre de produire ses effets. C’est dans
ce but que devront être poursuivies les réflexions sur les services
de La dynamique apostolique dans laquelle
Benoît XVI nous a confirmés lors de sa récente visite repose essentiellement
sur notre capacité à appeler des ouvriers pour Dans cette culture de l’appel, celui
qui concerne les ministères ordonnés doit être notre préoccupation
première. Il est même notre préoccupation quotidienne. Beaucoup de
diocèses ont pris des initiatives variées pour relancer cet appel.
Les provinces nous permettent d’avoir des échanges fructueux dans
ce domaine. Mais nous savons que nos appels, si motivés et motivants
soient-ils, ne toucheront qu’une infime minorité s’ils ne sont pas
appuyés et nourris par les communautés elles-mêmes. Depuis un certain
temps déjà, nous pouvons nous réjouir d’être sortis du mutisme qui
a sévi trop longtemps. Il nous faut sans doute aller plus loin et
provoquer chaque communauté chrétienne à entrer résolument en action :
conférences, échanges, veillées de prière, journée du prêtre, etc.
Nous devons mettre en œuvre toutes nos capacités d’invention qui sont
nombreuses au service de cette cause. Nous venons de terminer une
étape dans notre réflexion commune sur la formation des prêtres. Elle
ne doit pas être Avant de clore cette assemblée, je
voudrais en votre nom adresser un salut particulier à tous ceux qui
prennent leur part de la mission de l’Église, avant tout aux anonymes
qui ne réclament jamais que l’on parle d’eux, mais qui cependant sont
la troupe innombrable des témoins de la foi dans notre monde. Chaque
prière, chaque geste d’amour, chaque démarche de solidarité et d’entraide
comptent devant Dieu et devant les hommes. Un salut plein d’espérance
aux laïcs qui assument tant de charges dans le fonctionnement de notre
Église et dans sa mission. Un salut fraternel aux religieux et aux
religieuses, contemplatifs ou engagés dans l’action pastorale. Un
salut reconnaissant aux diacres permanents et à leurs familles. Un
salut affectueux aux prêtres, membres de nos presbyterium qui sont
nos collaborateurs quotidiens, et aux séminaristes que nous appelons
à la joie de suivre le Maître avec confiance. J’adresse aussi un salut fraternel
aux évêques des Conférences épiscopales étrangères qui ont participé
à notre assemblée et un message de soutien aux Églises éprouvées à
travers le monde. Je ne peux pas toutes les citer mais, du moins,
je veux évoquer spécialement l’Église du Viêt-Nam, celle de l’Inde
et les chrétiens du Moyen-Orient dans leurs différentes communautés,
ainsi que de trop nombreuses régions d’Afrique. A tous, j’adresse
nos vœux et l’assurance de notre prière fidèle. Cher amis, il est temps de conclure.
Nous allons célébrer l’Eucharistie dominicale à la Grotte de Lourdes,
en communion avec tous les chrétiens qui fêtent aujourd’hui la résurrection
du Christ, dans la joie d’être rassemblés par le Seigneur autour de
la table de la Parole et de la table du Pain. Le dimanche, Jour du
Seigneur, sera respecté et reconnu par tous si nous sommes fidèles
à en faire un temps fort de notre vie ; si chaque chrétien se
laisse appeler à rendre gloire à Dieu en Église pour tous ses dons ;
si nous vivons de telle manière qu’il ne soit pas dans notre société
un jour ordinaire parmi les jours, parce qu’il n’est pas un jour ordinaire
dans notre propre vie. Que le Seigneur nous garde dans la
communion ! + Cardinal André VINGT-TROIS Archevêque de Paris Président de |
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Revivre les temps forts
de l’assemblée plénière sur Lourdes, dimanche 9 novembre 2008. Le site
www.eglise.catholique.fr permet de revivre
tous les temps forts de l’assemblée plénière des évêques de France qui
s’est tenue à Lourdes du 4 au 9 novembre 2008 avec :
·
4 vidéos exclusives
des 8 nouveaux évêques apportant leur éclairage et leurs impressions
croisés sur chaque journée de l’assemblée.
·
Une vingtaine de vidéos
proposées par KTO et le Jour du Seigneur sur cette semaine d’assemblée
et des photos au jour le jour.
·
Des dossiers sur les
trois principaux sujets abordés lors de la session : « Indifférence
religieuse et visibilité de l'Eglise », « Bioéthique »
et « Faire vivre nos églises ».
·
Les discours d’ouverture
et de clôture du président de la Conférence épiscopale, ainsi que l’homélie
de la messe concélébrée par les évêques à la grotte des Apparitions
dimanche 9 novembre. Le site www.eglise.catholique.fr a pour vocation
d'apporter une information de référence sur l'Eglise catholique en France,
de témoigner de sa vitalité et de faciliter la navigation entre les
sites de l'Eglise, notamment les 800 sites de diocèses, mouvements,
congrégations, associations et paroisses qui partagent un nom de domaine
commun en .cef.fr ou .catholique.fr
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