Et si l’ours n’avait
pas attaqué C'est la nouvelle question, peut-être même affirmation, trouvée
par l'ADET-Pays
de l'ours pour tenter de discréditer les personnes hostiles
aux importations d'ours slovènes. Pour cette association pro-ours " trois semaines plus
tard, rien n'est venu confirmer le témoignage de ce chasseur prétendument
agressé par un ours "… " Ce silence en devient suspect. "
et mieux encore : " Les nombreuses incohérences dans le récit
du chasseur n'ont pas été levées… " Ce chasseur de 72 ans se
serait donc blessé seul pour faire croire que… et discréditer la présence
de l'ours. Et pour tenter de se justifier, cette association fait l'amalgame
avec l'accident d'un chasseur de sangliers de l'Ariège dont la presse n'aurait
pas parlé selon eux. Pas de chance. La Dépêche
du Midi a relaté les faits dans son édition ariègeoise du 9
novembre. Mais selon l'ADET il aurait fallu " un communiqué
", " une déclaration tonitruante " et pourquoi
pas une manifestation. Manque de chance pour ces défenseurs de la nature,
il n'existe pas d'association de défense des chasseurs (quoiqu'il existe
le syndicat national de la chasse) ni de pro et anti sangliers. Peut-être
un créneau de reconversion pour En effet, dans une motion largement signée par des élus, la coordination
pyrénéenne ADDIP demande la suppression des importantes subventions
versées par l'Etat aux associations pro-ours (ADET, FIEP, la Pastorale,
FERUS, etc….). Or, le Directeur de l'ADET
a lui-même annoncé sur Sud-Radio qu'il était payé sur des "
fonds ours ". L'ADET aurait donc tout intérêt à entretenir
le système conflictuel sous toutes ses formes pour tenter de conserver
ses subventions. A défaut, peut-être fera-t-elle comme la SEPANSO : demander 300 000 € à l' Bref ! |
Mis en ligne
vendredi 28 novembre 2008-8h50 |