Adé, le Village où Vivre ne reste pas Lettre morte.

 Amour du Rugby ? Amour de son village ? Les deux certainement, car, il faut une grosse motivation  aux Adéens pour organiser ces festivités avec tant de gentillesse et de convivialité. Nous avions eu d’abord la Papillote, puis la dégustation d’un énorme taureau et ce soir, l’organisation d’un vide grenier. L’énorme travail que les organisateurs abattent, est justement récompensé par l’affluence que ces manifestations attirent, mais quand même, il est époustouflant de voir ces bénévoles se démener et s’attaquer à tout ce ‘’boulot’’ avec autant d’entrain.

       Ils sont efficacement soutenus il est vrai, par M. Bergerot, maire de la commune qui d’un œil paternel, veille à ce que tout se passe bien.

       Nous connaissions l’expression : Pilier de Bistrot. A Adé, ils ont inventé le Trois quart Aile de Bar en la personne de notre ami Alain Caussade. Les boissons n’ont pas le temps de chauffer en cours de route. Sitôt tirées, sitôt servies, ça va vite ! Le Président Dambax lui, en bon Public relations, visite toutes les tables pour un petit bonjour sympathique. Il est dommage que je ne connaisse pas les noms de tous ceux qui oeuvrent pour que la fête soit réussie. Mais les Cuistots aux frites,  les spécialistes de l’Entrecôte, les serveurs, les plongeurs à la vaisselle, tous sont à remercier pour leur dévouement et leur souriante amabilité.

         Il est impossible de passer sous silence les centaines de délicieuses crêpes ‘’empastées’’ et dorées à point que Cécile, notre coiffeuse préférée a fait sauter et déguster aux gourmands amateurs qui lui donnaient à peine le temps de les poser dans l’assiette.

          Encore une journée exquise (et prolongée) à mettre à l’actif de cette commune qui est certainement la Championne  de la région pour le nombre, l’originalité, la qualité de ses organisations et le chaleureux accueil qu’elle y réserve à tous ses hôtes.

           Un grand merci aussi aux nombreux commerçants d’un jour qui ont patiemment supporté le chaud soleil de ce mois d’Août, en leur souhaitant que le faramineux chiffre d’affaire qu’ils ont réalisé aujourd’hui ne les transforme pas en financiers de la Fable et, leur coupant le sommeil, les empêche de récupérer des rudes fatigues de la journée.

                                                                                      René Delhom.

Mis en ligne le lundi 13 août 2007