Une arrivée à couper le souffle
Cette treizième arrivée du Tour de France 2017, Christian Prudhomme en a rêvé et Michel Pélieu l’a concrétisée. Une arrivée unique sur un des huit altiports français, le seul des Hautes-Pyrénées, pour une arrivée au bout d’un mur, pardon d’une ligne droite de 350 mètres à près de 20 % ! Car la particularité d’un altiport, c’est d’avoir une piste d’atterrissage ultra courte en pente raide pour atterrir dans le sens de la montée et décoller dans le sens de la descente. Une arrivée à couper le souffle des coureurs, par sa pente, mais aussi des suiveurs et des téléspectateurs du monde entier par sa beauté. Christian Prudhomme vit et respire le tour de France 365 jours par an et 24h/24, car la passion l’anime. Au point d’en rêver la nuit comme cette arrivée sur l’altiport de Peyragudes, qu’il a imaginé en août dernier. Un altiport rendu célèbre par le générique du James Bond « Demain ne meurt jamais », censé représenter une base soviétique en Afghanistan. Le lendemain, le Directeur du Tour de France a visionné des images du site et a appelé Michel Pélieu pour lui demander s’il serait possible de faire l’arrivée sur la piste de l’Altiport plutôt qu’à la station (...)
Christian Prudhomme, directeur du Tour de France, est venu aujourd’hui à Peyragudes où il a été accueilli notamment par ses amis Michel Pélieu, président du conseil départemental et François Fortassin, sénateur qui lui ont fait découvrir l’arrivée sur la piste de l’altiport.
Reportage à venir de Jean-Jacques Lasserre et Alain Bouchard
Le 13 juillet prochain, 20 ans après James Bond, les coureurs s’envoleront eux aussi pour Peyragudes, avec une arrivée à l’altiport aperçu dans « Demain ne meurt jamais ».
Une large ligne droite de 340 mètres de long, pour une pente raide à 17 %… Une première dans l’histoire de la course et une belle arrivée en perspective !
Demain mardi 18 octobre, sera dévoilé à Paris le parcours du Tour de France 2017 dont le départ sera donné depuis Düsseldorf le samedi 1er juillet. Ce sera la 4ème fois que l’Allemagne servira de rampe de lancement à la grande boucle. Un prologue plat et long de 13 km désignera d’entrée les hommes en forme.
Sorti de l’Allemagne, le peloton passera par la Belgique avec une arrivée à Liège. Le tour entrera en France par la Lorraine lors de la 3e étape. Place à un départ ensuite depuis le Luxembourg avant de rester dans l’Hexagone jusqu’à la fin en passant par Vittel, la Planche-des-Belles-Filles, Troyes, Nuits-Saint-Georges, Les Rousses...
Après les Vosges et le Jura, les coureurs auront droit à un menu alpin dès la 9e étape avec un parcours dantesque entre Nantua et Chambéry qui comprend trois cols hors-catégorie.
Place ensuite à la première journée de repos avec un premier transfert pour enchaîner en Dordogne par le Périgord (Lascaux). Direction ensuite les Pyrénées pour de belles étapes de montagne en perspective, notamment une arrivée à Peyragudes le 13 juillet, les coureurs étant partis de Pau.
Une fois la Haute-Garonne et la région de Toulouse passées, les forçats de la route se frotteront au Massif central en traversant notamment l’Aveyron et la Haute-Loire qui accueillera la deuxième journée de repos au Puy-en-Velay et un départ de Brioude, ville de naissance de Romain Bardet, avant de retourner défier les Alpes avec des arrivées à Serre-Chevalier puis au légendaire col d’Izoard.
La veille de l’arrivée à Paris (le 23 juillet) , il est fortement question d’un contre-la-montre entre La Ciotat et Marseille.(...)
Lundi 11 juillet 2016, organisé par l’Union Vélocipédique Lourdaise, le vainqueur de cette 63éme Nocturne Cycliste de Lourdes FFC courue sous la pluie avec de nombreux abandons, est Bernard Enzo du club de Vendée pays de Loire équipe U réserve du groupe professionnel de Direct Energie.
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