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Gérard Poublanc, le mari de Maguy Poublanc, présidente des Amis du Vieux-Lourdes, s’est éteint hier matin, des suites d’une longue maladie. Homme charmant, convivial, il avait exercé sa carrière professionnelle en tant que représentant en articles religieux et souvenirs au sein de l’entreprise familiale. Ses obsèques seront célébrées le mardi 23 mars 2021, à 15 heures, en l’église Saint-Jean-Baptiste. Nous présentons à Maguy, à ses enfants et petits-enfants, à sa famille et ses amis nos très sincères condoléances.
Vendredi après-midi, Vincent Terrail-Novès, candidat à la présidence de la région Occitanie sous la bannière “Nouvel Elan Occitan” était en déplacement dans les Hautes-Pyrénées. En compagnie de Pascal Claverie, premier adjoint au maire de Tarbes, pressenti semble-t-il pour être tête de liste du “Nouvel Elan Occitan” dans notre département, Vincent Terrail-Novès a visité l’entreprise SCT Ceramics à Bazet, un des fleurons industriels du territoire, sous la conduite de son PDG Jean-Paul Destroyes,.
Maire de Balma, 3ème Vice-président de Toulouse Métropole et Conseiller Régional de la Région Occitanie-Pyrénées-Méditerranée, Vincent Terrail-Novès est âgé de 42 ans, marié et père d’une fillette de 8 ans. Il est le fils de Guy Novès, l’ancien entraîneur emblématique du Stade Toulousain et de l’équipe de France de rugby. Il est kinésithérapeute et exerce depuis plus de 20 ans auprès de personnes âgées dépendantes (en EHPAD). En 2009, il a lui-même créé un établissement d’hébergement.
Depuis 2017, il n’est membre d’aucun mouvement ni parti politique. Il entend constituer une grande liste de rassemblement allant d’une gauche raisonnée à une droite modérée. Il bénéficie du soutien de la majorité présidentielle.
Avant la visite de l’entreprise SCT Ceramics, il a tenu un point-presse. (...)
Vendredi après-midi, au square Bouillot, dans le cadre de la journée nationale du souvenir et de recueillement en mémoire des victimes civils et militaires de la guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc, a eu lieu une cérémonie (en comité restreint) présidée par Didier Carponcin, sous-préfet d’Argelès-Gazost, en présence de Jeanine Dubié, députée, Maryse Carrère et Viviane Artigalas, sénatrices, Thierry Lavit, maire de Lourdes, Jean-Georges Crabarie, conseiller municipal, délégué aux anciens combattants, Bruno Montagnol, directeur départemental de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre, Roger Boursaud, président de la section cantonale de la FNACA.
Plusieurs gerbes ont été déposées, suivies de l’hymne national.
Le prochain Conseil Communautaire de la Communauté d’Agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées se réunira :
Mercredi 24 mars 2021 à 18h30 , Au Parc des Expositions de Tarbes, Hall Néouvielle, Boulevard du Président Kennedy
Avant la cérémonie religieuse qui a été célébrée à l’église Saint Jean-Baptiste (Lannedarré) par l’abbé Jean-François Duhar, curé de Lourdes, en présence du chanoine Charriez, ami de la famille Rancoule, plusieurs anciens joueurs et supporters du FCL avaient rejoint le stade Antoine Béguère, attendant le véhicule transportant la dépouille du défunt qui a fait un court passage, en souvenir des nombreux matchs où s’est illustré Henri Rancoule avec les glorieux anciens de l’épopée lourdaise. A l’issue de la célébration marquée par les témoignages émouvants d’un ami carcassonnais, des petits enfants et de notre confrère Michel Corsini qui a brillamment retracé la saga de l’illustre joueur, on a remarqué la présence de figures rugbystiques bien connues : Guy Novès, Rougé-Thomas, et d’autres ex stadistes toulousains, Pierre Berbizier, Jean-Pierre Garuet, Philippe Dintrans, Michel Hauser, Jean-Marie Spanghero. A noter aussi la présence de Thierry Lavit, maire de Lourdes et de ses adjoints Philippe Ernandez et Mohamed Dilmi, et bien évidemment des dirigeants du FC Lourdais autour du président Jean-Pierre Armengaud.
Olivier Dussopt, le ministre des Comptes publics a indiqué que la crise sanitaire avait coûté 160 milliard d’euros à l’Etat... et ce n’est pas fini.
Combien va coûter la crise sanitaire à la France ? A cette question, le ministre des Comptes publics, Olivier Dussopt a apporté un élément de réponse, mercredi 17 mars. "Entre les pertes de recettes et les dépenses que nous avons engagées pour faire face à la crise, que ce soit pour l’Etat en terme de dépenses, pour la sécurité sociale en terme de pertes de recettes liées à la baisse de l’activité, le coût (...) peut être estimé autour de 160 à 170 milliards d’euros", a déclaré Olivier Dussopt au Sénat. (...)
Voici les dispositions qui seront prises à l’occasion des obsèques du regretté Henri Rancoule, grande figure du rugby lourdais et international, où de nombreuses personnes dont des joueurs (anciens et actuels) sont attendus : la police municipale sera en place demain jeudi dès 14h pour régler la circulation et faciliter le stationnement. Avant la cérémonie religieuse qui se déroulera à l’église Saint Jean-Baptiste de Lannedarré à 14h30, le convoi funéraire s’arrêtera au stade municipal, l’enceinte où s’est illustré Henri Rancoule. Un hommage au défunt sera rendu à l’église par notre confrère et ami Michel Corsini. A l’issue de la cérémonie religieuse, un nouvel arrêt devant l’entrée du stade sera observé
Le numéro 3 de LR Aurélien Pradié, candidat en Occitanie, a mis en garde mercredi contre la tentation d’un report des élections régionales et départementales, prévues en juin, en raison d’une "situation de dangerosité sanitaire".
"Il n’est pas exclu que, comme pour les municipales, le gouvernement nous dise que le rendez-vous démocratique des départementales et des régionales est secondaire par rapport à l’urgence sanitaire", s’est inquiété le député du Lot au micro de Sud Radio, au moment où Emmanuel Macron doit trancher sur un confinement de l’Ile-de-France mercredi face à la "troisième vague" de l’épidémie. (...)
Quatre mois après l’Assemblée nationale, le Sénat à majorité de droite a entamé mardi l’examen de la proposition de loi LREM controversée sur la "sécurité globale" tandis que ses opposants manifestaient devant le palais du Luxembourg et dans plusieurs villes de France.
Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a d’emblée réaffirmé "toute la volonté" du gouvernement de conserver dans le texte l’article 24 qui a cristallisé les critiques. Il a indiqué s’en remettre à la "sagesse" des parlementaires "pour pouvoir avoir la meilleure rédaction possible".
Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées au même moment dans le calme en France pour réclamer le retrait de la proposition de loi qu’elles jugent liberticide. (...)