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Journée mondiale contre la douleur
Critère de qualité et d’évolution d’un système de santé, l’évaluation et la prise en charge de la douleur constituent un véritable enjeu de santé publique. La loi relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé du 4 mars 2002 reconnaît le soulagement de la douleur comme un droit fondamental de toute personne. La lutte contre la douleur est également une priorité de santé publique inscrite dans la loi de santé publique de 2004. (source : site HAS)
STAND D’INFORMATIONS AU CENTRE HOSPITALIER DE BIGORRE
Mardi 15 octobre 2013, se tiendra un stand d’informations dans le hall d’entrée du site de la Gespe, du Centre Hospitalier de Bigorre, à Tarbes.
Personnels médicaux et paramédicaux présenteront les actions menées au sein des services de soins, les techniques et pratiques mises en place dans le cadre de la lutte contre la douleur.
Au Centre Hospitalier de Bigorre, différentes instances de lutte contre la douleur œuvrent pour l’amélioration de la qualité des soins, l’information et la formation du personnel soignant aux pratiques spécifiques d’évaluation et de prise en charge de la douleur avec une approche globale centrée sur les besoins de la personne malade.
Lors de cette journée, des représentants de ces équipes référentes « douleur » se tiendront à la disposition du public pour répondre à leurs questions.
UNE ÉQUIPE FORMÉE à l’HYPNO ANALGÉSIE AU CENTRE HOSPITALIER DE LOURDES
Sous l’impulsion du Comité de Lutte contre la Douleur (CLUD), le personnel référent « douleur » de l’établissement a été formé par l’Institut Français d’Hypnose (IFH) à la pratique de l’hypno analgésie. à ce jour, chaque service de soin, médico-chirurgicaux mais également radiologie et rééducation compte au sein de son équipe une personne ressource en hypnose dans la douleur. Cela représente une équipe de 15 personnes comprenant aides soignantes, infirmièr (e)s, kinésithérapeutes, manipulateurs en électroradiologie.
Dans le but de favoriser la meilleure qualité relationnelle possible dans le soin, cette pratique permet l’instauration d’une relation très particulière aux patients, favorisant une meilleure adhésion du patient aux soins qui lui sont prodigués.
Une première étape a été franchie avec la formation des référents « douleur » de l’établissement. Dans un second temps, la formation sera étendue aux équipes soignantes, avec pour priorité les services accueillant le plus de patients douloureux ou dont les soins induits par son activité provoquent des douleurs.
Rédaction
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