Clash au repas de fin d’année des employés communaux et de la CCPL

Nous avons toujours pour principe de ne jamais aller quelque part où nous ne sommes pas invité. Nous ne faisons pas partie de cette catégorie de plumitifs alimentaires, comme certains ou certaines sur le plan local. Notre précieux collaborateur Gérard Arramon étant souffrant, il nous avait demandé de couvrir aujourd’hui deux manifestations qu’il ne pouvait assurer vu son état de fatigue. C’est ainsi qu’après être allé à la réception de la compagnie de gendarmerie d’Argelès-Gazost qui fêtait ce soir la sainte Geneviève à Lau-Balagnas, nous nous sommes rendu à l’arbre de Noël de la Lyonnaise des Eaux qui avait lieu au restaurant Le Gallery. Ensuite, avec notre associé et collaborateur Marc Lafitte, nous sommes allés à l’hôtel La Solitude, quelques centaines de mètres plus bas. Là, se déroulait le repas annuel des employés communaux et de la communauté de communes du pays de Lourdes. Invitation nous avait été lancée, comme les années précédentes (ci-dessous l’invitation datée du mercredi 12 décembre 2012, à 15h53).

Nous n’avions pas l’intention de nous y attarder. Et c’est sur l’insistance de René Courtade, le sympathique secrétaire du comité d’entreprise, que nous avions accepté de rester au repas, qui réunissait près de 400 personnes. En attendant, nous avons discuté à droite et à gauche, n’étant pas en mal de connaissances. Nous avons également fait quelques clichés. Le plus souvent, nous étions sollicité. Et puis la rumeur a enflé dans la salle. Elle est parvenue à nos oreilles jusqu’au moment au René Courtade nous cherchait. Nous sommes allé à sa rencontre et c’est là que nous avons appris que l’intolérant et épidermique maire faisait un caca nerveux.

Arti-le-courageux qui venait de reprocher au propriétaire des lieux, Bruno Vinualès, d’être à l’origine de notre venue* (sic) était sorti de l’hôtel, en compagnie de sa garde rapprochée. Marc Laffitte ne souhaitait pas rester. En sortant, il a entendu des propos venant d’un quatuor municipal : « En voilà un qui s’en va, il en reste un autre dedans ! » L’autre, c’était nous. René Courtade, très gêné, venait nous dire son embarras. « Mon patron ne veut pas rentrer tant que tu seras là ». Nous avons reçu une autre éducation pour ne pas créer d’incident. Quand nous sommes sorti, nous avons vainement cherché du regard Artiganave. Et comme toujours, il se planquait . Courage fuyons ! C’est son côté pétochard. Nous laissons à nos lecteurs le soin de le juger.

Gérard Merriot

* Des témoins viennent de nous appeler pour nous dire leur stupéfaction devant les insultes et l’agressivité artiganaviennes à l’égard de Bruno Vinualès. D’autres personnes se sont illustrées. Ainsi, il nous a été rapporté que Marie-Henriette Cabanne, l’adjointe aux affaires sociales, qui n’a jamais ébloui les Lourdaises et les Lourdais par ses actions dans le domaine qui lui est dévolu - il nous a été donc rapporté que cette élue s’était permise de demander à Bruno Vinualès de nous sortir. Comme l’a également fait la plumitive Pereira. C’est une habitude chez elle. Si des lecteurs ont d’autres noms à nous citer, nous les invitons à nous contacter.

Artiganave a prétendu que les journalistes avaient été invités par Bruno Vinualès. Pour certain (e) s, c’est peut-être vrai mais il en avait référé à René Courtade. Ce n’était pas notre cas. Artiganave ! Dis-nous qui avait invité et à quel titre Pereira et Gautier ? Le grand coupeur de tête médiatique ne s’est pas offusqué de leur présence. En tous cas, Arti-le-ségrégationniste de l’information n’a pas marqué des points. « Quelle triste et désastreuse image, donne-t-il de sa fonction ? », nous a précisé un très ancien habitué de cette traditionnelle soirée. Nous remercions les nombreux soutiens qui se sont manifestés déjà au téléphone.