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Problème d’ours ou ours à problème dans les Pyrénées ?

mardi 12 juin 2012 par Rédaction

Si certains pensaient qu’il n’y avait plus de
problème d’ours dans les Pyrénées parce qu’il n’en entendait pas parler, ils se
trompaient. Les problèmes n’ont jamais cessé d’exister qu’il y ait ou non des
élections. Un seul ours dans les Hautes-Pyrénées et ce sont 15 à 20 brebis qui
sont croquées chaque année. Imaginez, s’il y en avait 50, ce serait 3 troupeaux
sacrifiés chaque année… et très vite un désert qui s’installerait dans les
vallées comme dans les Asturies. Et très prochainement dans la vallée du <span
class=SpellE>Biros en Ariège s’ils ne prennent pas rapidement des
mesures efficaces sans attendre une cogitation parisienne d’une nouvelle
Ministre.

<span
style='font-size:14.0pt;line-height:115%;font-family:"Times New Roman","serif"'>Comment
défendre les troupeaux ?

"Times New Roman","serif"'>Les associations environnementalistes dites
« écolos » ou « pro-ours » ont cette faculté remarquable de
donner des conseils en élevage sans jamais avoir gardé un troupeau. Ils ont la
solution…. « La solution nous la
connaissons depuis longtemps… ».
De Gérard Caussimont,
Président du FIEP, par ailleurs professeur d’espagnol et chef d’un établissement
d’enseignement privé à François Arcangéli, maire d’Arbas et Conseiller régional
Europe Ecologie, par ailleurs architecte de son état, en passant par le
sulfureux directeur de l’ADET, Alain Reynes, dont il dit être <i
style='mso-bidi-font-style:normal'>« payé grâce à l’argent du plan ours »
et qui n’a manifestement jamais rien fait d’autre que de rechercher des
subventions et inventer des marques de produits du genre fromage « Pe
descaou » ou « broutard du Pays de l’ours » sans grand succès,
eux ont la connaissance et la vérité. Les éleveurs n’y connaissent rien.

"Times New Roman","serif"'>C’est simple !

"Times New Roman","serif"'>Un chien Patou dit chien de protection, dont on sait
qu’il crée pas mal de problèmes aux randonneurs, et finies les attaques. Il
suffit de voir la liste des procès à répétition du fait des randonneurs dans
les Alpes, la liste des itinéraires de randonnée interdits notamment dans le
Vercors et les communes qui interdisent les Patous dans
les Alpes Maritimes…. Pour être convaincu que le chien de protection n’est pas
vraiment LA solution miracle.  Et puis,
le Parc National des Pyrénées nous expliquera peut-être pourquoi ceux qui
étaient au Clot et au Marcadau ont subitement disparu…

"Times New Roman","serif"'>Y a qu’à (formule classique) garder les bêtes jour
et nuit, 24h/24 et 7 jours / 7 si possible sans dormir (c’est plus efficace),
payé 35h par semaine au SMIC. Ce n’est pas cher et ça peut rapporter une prime
qui ne couvre pas tous les frais. Si vous trouvez un naïf pour faire le
travail, prévenez-nous….

"Times New Roman","serif"'>Et puis, la haute technologie au service du
berger : le parc. Il suffit de parquer les bêtes la nuit. De cette
manière, l’ours n’a plus qu’à foncer dans le paquet sans faire l’effort des
rassembler. Il a tout à disposition. Il ne risque rien, le berger n’a que… son
bâton pour s’opposer… arme de 5ème catégorie dans une manifestation
ou une attaque….  

"Times New Roman","serif"'>Parc et garde ont été testés en val d’Azun il y a
quelques années. Erwan s’en souvient encore. Il a plié bagage et redescendu le
troupeau. C’était plus sûr pour tout le monde… abandonner la montagne. En fait
c’est bien là l’objectif des écologistes.

<span
style='font-size:14.0pt;line-height:115%;font-family:"Times New Roman","serif"'>Vider
la montagne de ses habitants

"Times New Roman","serif"'>Christopher Servheen, spécialiste de l’ours à
l’Université du Montana est également à la tête du Comité d’experts sur les
ours pour l’Union mondiale pour la conservation de la nature (IUCN), l’âme sœur
du WWF.  Pour se justifier face à
l’injustifiable, il fut un temps où les services du ministère de
l’environnement le mandatait pour de menus services. Il l’avait été en 1996
pour réaliser un « état des lieux de la
population ursine et de son habitat dans le Haut-Béarn »
. Pour faciliter la
présence des ours, il arrivait à ces recommandations remarquables : <i
style='mso-bidi-font-style:normal'>« Il ne faudrait plus construire de
nouvelles routes. Il faudrait fermer pour de bon aux véhicules motorisés les routes
existant déjà et ne reliant pas d’agglomérations permanentes ». Et il
rajoutait pour mieux se faire comprendre : normal'>« Il serait nécessaire d’abandonner les maisons isolées et autres
structures semblables (cabanes de bergers), et de les supprimer des habitats de
l’ours. Il est aussi fortement recommandé de réduire au minimum les
perturbations momentanées causées par la chasse, l’écobuage, les chiens
errants, les randonneurs, etc. »
. Le plus extraordinaire est que ledit
rapport est annexé au cahier des charges de la N 134 de la vallée d’Aspe pour
accéder au Somport…. Sans parler de certaines démarches en vue du déplacement
des bergers dans les banlieues de Tarbes et Pau (Cf. « Génération
démagogie » de Marianne Bernard)

"Times New Roman","serif"'>Dans le même état d’esprit, leur rapport
intermédiaire au Plan Ours (2008) du WWF, ADET et FERUS, ces associations
préconisent « un retour 2000 ans en
arrière ».
Nous sommes en République, le délire est autorisé. Doit-on
le suivre ?

"Times New Roman","serif"'>Et puis, Marie-Odile Guth, Inspectrice générale de
l’environnement, ex-directrice du Parc National du Mercantour et actuellement
administratrice du Parc National des Pyrénées qui estime que nos montagnes et
vallées sont : « Des territoires
confortés, adaptés et soutenus face à la présence de loups »
… et pourquoi
ne pas transposer à l’ours pendant qu’elle y est ? Et elle précise : <i
style='mso-bidi-font-style:normal'>« Ces espaces pourraient correspondre
aux massifs montagnards colonisés actuellement (Alpes du Nord et du Sud) et en
colonisation prévisionnelle (Jura, Vosges, Pyrénées) et qui dans le cadre d’un
soutien à la politique du pastoralisme disposent d’aides substantielles en
matière de prévention et d’indemnisation des élevages extensifs…. » (« Evaluation
des actions menées par l’Etat dans le cadre du plan d’action sur le loup 
– 2004-2008 » – Rapport Marie-Odile Guth et Pierre Bracque – 6 mars 2008).
Ainsi donc nos éleveurs bénéficient d’aides qui les obligeraient à accepter des
grands prédateurs ours et loups. Il serait intéressant de lui faire visiter les
élevages des Pyrénées… avant le prochain conseil d’administration du Parc
National. A moins qu’elle ne préfère nous expliquer comment trois loups sont
partis d’un élevage italien… pour coloniser les Alpes ??? Qui sait ? Ou
encore comment des loups italiens sont arrivés dans les Pyrénées…. ??? <span
style='mso-spacerun:yes'> 
Les grands prédateurs offrent tellement de
surprises…. Pour vider les montagnes de leurs habitants. Tout est bon ! Et
elle semble dotée d’une certaine expérience efficace.

<span
style='font-size:14.0pt;line-height:115%;font-family:"Times New Roman","serif"'>Cohabitation
impossible et acceptation sociale inexistante

"Times New Roman","serif"'>Pour les éleveurs qui sont en AOC, le décret
interdit tous regroupements de quelque nature que ce soit. Les bêtes doivent
être laissées en liberté (Cf. Décret d’origine de 2003 <a
href="http://www.pyrenees-pireneus.com/Pastoralisme/Labels/AOC-Bareges-Gavarnie/Pastoralisme-AOC-arrete.htm">http://www.pyrenees-pireneus.com/Pastoralisme/Labels/AOC-Bareges-Gavarnie/Pastoralisme-AOC-arrete.htm<span
style='mso-spacerun:yes'> 
renouvelé en 2008 <a
href="http://www.pyrenees-pireneus.com/Pastoralisme/Labels/AOC-Bareges-Gavarnie/Pastoralisme-AOC-mouton-%20Bareges-Gavarnie-Decret-17-octobre-2008.pdf">http://www.pyrenees-pireneus.com/Pastoralisme/Labels/AOC-Bareges-Gavarnie/Pastoralisme-AOC-mouton-%20Bareges-Gavarnie-Decret-17-octobre-2008.pdf<span
style='mso-spacerun:yes'> et le cahier des charges d’AOP <a
href="http://www.pyrenees-pireneus.com/Pastoralisme/Labels/AOC-Bareges-Gavarnie/Pastoralisme-AOP-mouton-bareges-gavarnie-cahier-des-charges-appellation-origine-protegee-2008-Europe.pdf">http://www.pyrenees-pireneus.com/Pastoralisme/Labels/AOC-Bareges-Gavarnie/Pastoralisme-AOP-mouton-bareges-gavarnie-cahier-des-charges-appellation-origine-protegee-2008-Europe.pdf
 ) Un décret et des pratiques ancestrales
totalement opposées aux préconisations du plan ours. Le problème n’est pas
l’AOC comme certains voudraient le faire croire mais la totale absence d’étude
préalable aux introductions sur les pratiques pastorales et l’acceptation
sociale de la présence de l’ours. Au motif de l’urgence écologique, les
associations écologistes dès la première introduction (1996 et 1997), avec la
complicité active des services de l’État totalement inféodés à l’écologie
politique installée en leur sein via Gilbert Simon, ont imposé des lâchers
d’ours.

"Times New Roman","serif"'>Les résultats, dont on ne sait s’ils sont officiels
ou officieux, de la consultation publique menée du 27 décembre 2010 au 4
février 2011 portant sur le projet d’introduction d’une ourse en Béarn, sont éloquents.
 Sur les 925 communes des 6 départements
du massif (toutes ne sont pas concernées), plus de 91% sont défavorables aux
introductions. Quant aux particuliers qui se sont exprimés directement ou par
l’intermédiaire d’un organisme, mais toujours individuellement (les motions
n’ont pas été prises en compte), ce sont plus de 75% de personnes hostiles.

"Times New Roman","serif"'>Dans le rapport final Life (financement européen) en
2000, cette absence d’acceptation avait également été notée. Les financements
européens dans ce domaine n’existent plus depuis cette date. Il est pour le
moins curieux que l’on nous dise aujourd’hui que les introductions sont
obligatoires sauf à prendre le risque de se voir arrêter toutes les aides
européennes. Manifestement une foutaise et une nouvelle manipulation
écologiste !

"Times New Roman","serif"'>Les deux experts nommés pour la préparation des
premières introductions dites « expérimentales »,
ont démissionné avant les importations de Slovénie. J.M. Parde,
docteur en biologie et ingénieur conseil (cf. Lettre à Gilbert Simon du 25
janvier 1996) note que  : « Le
monde agricole n’est pas partenaire des tâches à accomplir…//…. Les actions de
préparation indispensables, en particulier auprès des éleveurs et des habitants
concernés, ne sont pas et ne seront jamais faites… ».
La liste des
griefs est longue. J.M. Parde démissionnera de l’opération d’importation d’ours
de Slovénie qu’il ne cautionne pas. Le 6 avril 2000, il confirme : <i
style='mso-bidi-font-style:normal'>« Les mesures concernant le pastoralisme
et le développement local ne se sont accompagnés d’aucune innovation concrète
et leur application a donné lieu à des débordements peu compatibles avec la
bonne tenue de cette opération ».

"Times New Roman","serif"'>Autre expert consulté, Antony P. Clevenger,
démissionne également le 27 mai 1995 pour divers motifs dont le défaut <i
style='mso-bidi-font-style:normal'>« d’acceptation publique » en
mentionnant une absence de concertation mais aussi un détournement d’objectif
en passant d’un stade de « conservation » à celui
« d’introduction ».

"Times New Roman","serif"'>Depuis plus de 20 ans nous vivons sur un leurre et
une vaste manipulation parfaitement décrite par David Chétrit dans son ouvrage <b
style='mso-bidi-font-weight:normal'>« La réintroduction de l’ours – Histoire
d’une manipulation » (Ed. Privat) <a
href="http://www.pyrenees-pireneus.com/Bibliographie/Faune/Ours/Reintroduction-de-l-ours-Histoire-d-une-Manipulation-David-Chetri.html">http://www.pyrenees-pireneus.com/Bibliographie/Faune/Ours/Reintroduction-de-l-ours-Histoire-d-une-Manipulation-David-Chetri.html
Les associations environnementalistes sont à la base de cette manipulation à
laquelle se sont associés, parfois avec beaucoup de vigueur, <span
style='mso-spacerun:yes'> 
de nombreux fonctionnaires au plus haut niveau
notamment des Préfets de région. Doit-on poursuivre dans cette voie ?

<span
style='font-size:14.0pt;line-height:115%;font-family:"Times New Roman","serif"'>Les
vraies solutions existent-elles ?

"Times New Roman","serif"'>Une révision du protocole ours à problème n’est pas
sérieuse. Des tentatives ont déjà eu lieu et très récemment. Dans un communiqué
du 26 juillet 2007, Nathalie Kosciusko-Morizet, alors
Secrétaire d’Etat chargée de l’Ecologie écrit : normal'>«  Je propose donc qu’Alain AUVÉ,
conseiller technique au cabinet des Ministres, anime dès maintenant, avec
toutes les parties concernées, les travaux sur la révision du protocole. »
Il
s’agissait de réaliser « une amélioration
du protocole « ours à problèmes »
. Devant la presse, la même Secrétaire
d’Etat disait haut et fort que « Alain
Auvé resterait sur place jusqu’à ce qu’une solution soit trouvée. »
<span
style='mso-spacerun:yes'> 
En fait, « 
le blanc bec parisien s’est vite enfui vers le métro. La montagne lui faisait
peur et la crotte de moutons devait le salir »
nous disait un responsable
agricole de l’époque. Depuis, plus de nouvelles d’Alain Auvé et le protocole est
toujours le même depuis le 10 février 2006, avant les dernières importations.
Que vaut la parole d’un Ministre et par voie de conséquence d’un Préfet qui ne
fait que transmettre et appliquer les décisions du Ministre ?

"Times New Roman","serif"'>Il faut sans doute se tourner vers d’autres
solutions qui semblent bien exister dans la législation actuelle. Outre le fait
que l’ours, comme tout animal sauvage, n’est pas un patrimoine contrairement
aux affirmations et dérives linguistiques récurrentes, s’il est protégé il
n’est pas en péril. C’est donc le statut de protection qui est
contestable. Par ailleurs, le code
rural, le code de l’environnement et le codes des collectivités territoriales
sont pleins de ressources à exploiter.

<span
style='font-size:12.0pt;line-height:115%;font-family:"Times New Roman","serif"'>L’article
L 113-1 du Code rural
font-family:"Times New Roman","serif"'> stipule que : normal'>« …. le Gouvernement, …//…, s’attache à : ….... Assurer la
pérennité des exploitations agricoles et le maintien du pastoralisme, en
particulier en protégeant les troupeaux des attaques du loup et de l’ours dans
les territoires exposés à ce risque »
. <a
href="http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071367&idArticle=LEGIARTI000006581661&dateTexte=&categorieLien=cid">http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071367&idArticle=LEGIARTI000006581661&dateTexte=&categorieLien=cid<span
style='mso-spacerun:yes'> 

<span
style='font-size:12.0pt;line-height:115%;font-family:"Times New Roman","serif"'>L’article
L427-9 du Code de l’Environnement
line-height:115%;font-family:"Times New Roman","serif"'> stipule que <i
style='mso-bidi-font-style:normal'> : « ….tout propriétaire ou fermier peut
repousser ou détruire, même avec des armes à feu, mais à l’exclusion du collet
et de la fosse, les bêtes fauves qui porteraient dommages à ses propriétés
 ;…. ». <a
href="http://www.pyrenees-pireneus.com/Pastoralisme/Droit/ENVIR-Droit-de-tuer-grands-predateurs-ours-loups.htm">http://www.pyrenees-pireneus.com/Pastoralisme/Droit/ENVIR-Droit-de-tuer-grands-predateurs-ours-loups.htm
  Voilà
un texte qui semble assez clair.
Pourquoi n’est-il pas appliqué ?

<span
style='font-size:12.0pt;line-height:115%;font-family:"Times New Roman","serif"'>L’article
L2212-2 du Code général des collectivités territoriales
<span
style='font-size:12.0pt;line-height:115%;font-family:"Times New Roman","serif"'>stipule
notamment  : « La police
municipale a pour objet d’assurer le bon ordre, la sûreté, la sécurité et la
salubrité publiques. Elle comprend notamment : …//… 7° Le soin d’obvier ou de
remédier aux événements fâcheux qui pourraient être occasionnés par la
divagation des animaux malfaisants ou féroces »
. <a
href="http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do;jsessionid=CCD85B07C9C2351208C1CEB80854450C.tpdjo03v_2?idArticle=LEGIARTI000019983190&cidTexte=LEGITEXT000006070633&dateTexte=20110506&categorieLien=id">http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do ;jsessionid=CCD85B07C9C2351208C1CEB80854450C.tpdjo03v_2?idArticle=LEGIARTI000019983190&cidTexte=LEGITEXT000006070633&dateTexte=20110506&categorieLien=id
Pourquoi l’ours ou le loup feraient-ils exception ?

"Times New Roman","serif"'>Voilà quelques voies qui mériteraient d’être
étudiées. Nous pouvons même nous interroger sur les motifs qui font que,
jusqu’à maintenant, personne n’y ait fait allusion. Qu’il soit <i
style='mso-bidi-font-style:normal'>« ours à problème » ou non, il
y a bien un problème d’ours qui mériterait d’être solutionné, sans attendre un
avis ministériel, en puisant dans l’arsenal juridique actuel.

<span
style='font-size:12.0pt;line-height:115%;font-family:"Times New Roman","serif"'>Louis
Dollo

  • 12.0pt;line-height:115%;font-family:"Times New Roman","serif"'>Le
    protocole « ours à problème » (pdf)