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Echos, bruits et chuchotements de la vie lourdaise

jeudi 12 novembre 2009 par Rédaction

Coup de tonnerre dans le ciel lourdais !
Samedi dernier 7 novembre, nous annoncions dans cette rubrique "Echos, bruits et chuchotements de la vie lourdaise" la possible parution d’un article intitulé "Coup de tonnerre dans le ciel lourdais". Bon nombre

de nos lecteurs se demandent ce jeudi ce qu’il en est de cette annonce qui laisse planer, il faut bien le reconnaître, un certain suspense. Loin de nous l’idée de faire du Hitchcock. Nous n’en avons pas le talent bien évidemment. Nous nous étions effectivement donné jusqu’à ce jeudi 12 novembre pour en faire état. Le 11 novembre étant férié, nous reculons d’un jour cette éventuelle publication, attendant une réponse par courrier, missive - on ne se fait aucune illusion - qui ne nous parviendra sans doute pas. Et comme nous ne mettons en ligne que des informations recoupées à la source, nous préférons attendre 24 heures de plus.

Il est sorti
La distribution du n°2 du magazine de la communauté de communes du pays de Lourdes rédigé et mis en page par nos "super-professionnelles" CG-D(P)P a commencé. Ledit magazine continue à ne pas casser trois pattes à un canard. Que nous apprend-il ? Pas grand chose. Y-a-t-il des progrès au niveau de la mise en page ? Franchement non, ça reste toujours aussi quelconque et d’une lecture pas toujours aisée. Les progrès sont au niveau de l’orthographe. Il n’y a plus 32 fautes comme dans le n°1 car la re-lecture est confiée à un (ou des) pro(s). Une partie du "mag" est consacrée au personnel. N’ayant pas l’intention de nuire à celui-ci dont on n’ignore pas par ailleurs le malaise qui le secoue - (NDLR. Se référer aux déclarations des syndicats) - nous nous abstiendrons de commentaires. Nous pensions néanmoins que la CCPL était dotée d’une direction. A la lecture du n°2, nous apprenons qu’il s’agit en fait d’une "coordination des services". Cela laisserait-il

présager la mise en place prochaine d’une direction générale des services, comme nous avons pu l’entendre au travers de quelques discussions ?
On aura remarqué, par ailleurs, le coup de projecteur braqué sur un des vice-présidents. Histoire de le faire connaître aux administrés pour qu’ils mesurent mieux l’ampleur de sa tâche ? On veut nous faire croire que "la zone de Toulicou est en marche ". Bonne nouvelle. Hélas, l’arrivée de nouvelles entreprises ne semble pas pour demain, crise oblige et proximité avec la zone "Pyrène Aéropôle" plus attractive, notamment en taxe professionnelle. Il est question dans ce "magazine" des écoles et de quelques nouveautés les concernant. C’est avant la rentrée qu’il aurait fallu en parler pour en informer les parents. Ensuite séquence nostalgie avec deux pages sur les fêtes de l’été en pays de Lourdes. Comparées aux photos de Gérard Arramon sur lourdes-infos.com, ça fait un peu léger. On a bien aimé par contre la question "QUE FAIRE DES ENCOMBRANTS ?". Ne faudrait-il pas élargir ce terme à autre chose qu’à des déchets ?
Quand on compare cette publication à d’autres qui sont loin de coûter aussi cher et qui sont surtout plus professionnelles, on se dit vraiment qu’on n’est pas trop regardant du côté de la présidence de la CCPL. Enfin, pour finir, on va vous parler de l’ours ci-dessous.

L’ours a changé
Ce n’est pas du plantigrade dont nous voulons parler. C’est de l’encadré où doivent figurer notamment le nom du directeur de la publication, des principaux rédacteurs. On a décelé un changement. La rédaction du n°1 a été réalisée par Delfina Pinto Pereira. La rédaction du n°2 est l’œuvre de... Delphine Pereira. Pourquoi ce changement ? Alors qu’il s’agit bien évidemment de la même pigiste. Pour nous, cela relève du mystère. Nous publions ci-dessous les deux ours pour confirmer nos propos.

A LIRE sur le blog de Jean-Luc Laplagne...

Panne
Ce lundi matin, cinq relais SFR sont tombés en panne à Lourdes et au-delà. Cela explique que certains abonnés de cet opérateur sont injoignables ce lundi matin. Ils ne peuvent évidemment pas appeler depuis leurs téléphones portables. Renseignements pris auprès de la boutique de la place Marcadal, le rétablissement pourrait intervenir au plus tard dans 48h. Finalement, vers 11h20, certains abonnés étaient rétablis. On ignore s’il s’agissait de la totalité.

Rectification
Nous pensions que la banda qui a animé le match de rugby Lourdes-Périgueux venait de Dordogne pour encourager les joueurs périgourdins d’autant qu’elle était mélangée aux supporters capistes. En réalité, ces musiciens qui n’ont pas le souffle court, on peut vous l’assurer, avaient été réclamés par les joueurs lourdais. Comme les airs entraînants coïncidaient souvent avec les temps forts des visiteurs, la confusion était totale. C’est pour ça qu’on se serait cru à Périgueux. Il est vrai que les supporters lourdais n’ont pas l’habitude de donner de la voix.

Qu’a-t-il manqué au FCL ?
Sans doute les encouragements du maire de Lourdes qui n’était pas présent dans les tribunes du stade Antoine Béguère, samedi soir, à l’occasion de la défaite du FCL face au visiteur périgourdin. Absence d’autant plus remarquée que depuis le début de la saison, il est omniprésent et bien représenté autour du club. Il n’aura pas manqué sans doute de revoir des larges extraits de la rencontre sur www.lourdes-infos.com, site dont il disait le plus grand bien, il y a quelques mois à peine.

Commerce : restructuration du centre-ville
Pour poursuivre l’opération collective urbaine en vue de conserver et fortifier le tissu des entreprises commerciales, artisanales et de services en centre-ville, la municipalité a sollicité l’aide financière de l’Etat au titre du FISAC (3e tranche) pour réaliser : l’amélioration de l’accessibilité des rues et places commerçantes (place Peyramale, rues Basse et de Bagnères, impasse Boly), l’aménagement de la rue et l’impasse du Fort, la réfection des façades du centre-ville. Coût total : 3 006 503 € ainsi répartis : 420 974€ pour le FISAC, 137 500 € pour la région, 60 000 € pour le département, 1 968 029 € pour la ville de Lourdes et 420 000 € pour les commerçants.

Coup de tonnerre dans le ciel lourdais !
Ça pourrait être le titre d’un de nos prochains articles si nous avions confirmation de l’information qui nous est parvenue dans la journée d’hier. Si, effectivement, ce qui nous a été rapporté était exact, on n’aurait pas fini d’en entendre parler. Nous nous sommes donné jusqu’au 12 novembre prochain avant d’en faire état.

CSDU Lourdes-Mourles : la fermeture fin décembre 2011 confirmée.
Hier soir, au conseil communautaire du Grand Tarbes, Guy Poeydomenge, le président du SMTD 65 (Syndicat Mixte de Traitement des Déchets des Hautes-Pyrénées) a fait le point de la situation au niveau départemental (voir l’article et écouter l’interview de Louis Dollo). A cette occasion, il a confirmé la fermeture du site de Lourdes-Mourles à la fin du mois de décembre 2011. Nous avons appris aussi que ledit syndicat négociait l’acquisition d’un terrain dans le secteur pour y construire un quai de transfèrement où tous les déchets de Lourdes et du pays des Gaves seraient amenés avant d’être apportés quelque part ailleurs (la destination n’est pas encore connue). Par rapport à son prédécesseur Michel Azot, l’ancien président du Syndicat Mixte de Traitement des déchets du Pays des Gaves, Guy Poeydomenge bénéficie visiblement d’une plus grande estime de la part de ses interlocuteurs. Il est vrai qu’il joue parfaitement la transparence.

DGI et DGCP cherchent locaux
La fusion entre la Direction générale des impôts (DGI) et de la Direction générale de la comptabilité publique (DGCP) est désormais officielle. Éric Woerth, ministre du Budget, des comptes publics et de la fonction publique, a expliqué que cette fusion permettrait d’atteindre quatre objectifs prioritaires :
– améliorer la qualité du service rendu aux usagers, dont près de 80 % estiment que l’organisation actuelle, avec, d’un côté, les centres des impôts et, de l’autre, les trésoreries est trop complexe ;
– mieux répondre aux besoins des élus locaux, dont les services sont en contact avec les deux administrations sur le terrain ;
– accroître la performance et l’efficacité de l’État, en renforçant les moyens de lutte contre la fraude, en augmentant encore le taux de recouvrement et en continuant à dégager des gains de productivité ;
– améliorer les perspectives professionnelles des agents en leur donnant de nouvelles possibilités de mobilité et d’enrichissement de leurs métiers.

A Lourdes, les deux administrations cherchent un endroit où elles pourraient s’installer. La municipalité a été contactée pour trouver une solution. Celle-ci n’a guère de bâtiments disponibles. A un moment, d’aucuns auraient évoqué l’ancienne institution Sainte-Marie, rue du Sacré-Cœur, là même où le pôle Petite Enfance aurait dû voir le jour. Aujourd’hui, des regards se porteraient vers l’ancienne gendarmerie, rue des Chalets.

Le projet Guignard
Il concerne un éventuel pôle commercial que le promoteur cherche à implanter sur le terrain de l’Aquarium (entrée Nord de Lourdes) avec une quinzaine d’enseignes. Nous avions évoqué, en primeur, ce dossier qui avait soulevé un tollé chez les commerçants du centre-ville. Finalement, le promoteur avait retiré son projet. Mais c’est pour mieux l’affiner. Il devrait donc le présenter avant la fin du mois de décembre. Le maire de Lourdes a rencontré récemment les membres du Comité d’animation du commerce lourdais que préside Nadine Lattre. Il les a, paraît-il, rassurés, leur indiquant que la ville de Lourdes s’opposerait à cette implantation de plus de 8 000 m2 de surfaces commerciales. Le ton est nouveau. Lors du dernier conseil municipal, JPA avait laissé entendre qu’il voulait éviter l’évasion de la clientèle du pays de Lourdes et des vallées des gaves vers d’autres villes (il pensait sans doute à Tarbes et Pau), ne fermant pas visiblement la porte à toute implantation. Quant à la destination de l’ancien Aquarium, d’aucuns y verraient bien en ce lieu un stade nautique, projet qui devrait se faire sur l’emplacement de la piscine de la Coustète mais dont on ne parle plus guère du côté de l’hôtel de ville.

Extension
Le boulodrome de Sarsan est sans doute celui qui est le plus fréquenté du département. Rien d’étonnant dès lors que le club possède aussi de très bons joueurs qui s’illustrent au plan régional. Le président Gomez et son équipe qui se sentaient à l’étroit souhaitaient depuis quelque temps agrandir l’espace. Ils ont satisfaction puisque la ville de Lourdes « hérite » gratuitement de l’Etat d’une parcelle voisine de 2 269 m2. En fait, suite au transfert des routes nationales de l’Etat vers le département, c’est le conseil général qui en était devenu propriétaire. Le 18 septembre dernier, la commission permanente du conseil général s’est favorablement prononcée sur ce principe.

La TCP : les Espagnols freineraient –ils ?
À partir du mois de janvier, l’Espagne assurera pour six mois la présidence de l’Union européenne. Selon un confrère du « Heraldo de Aragon », le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE), majoritaire de l’autre côté de la frontière, s’est opposé à ce que le gouvernement espagnol considère la réouverture de la liaison ferroviaire Oloron-Canfranc et le projet de traversée centrale des Pyrénées comme des « priorités européennes ». C’est-à-dire qu’ils soient dotés d’un calendrier et d’un financement précis. Cela, en dépit d’une demande formulée par le PAR, un parti aragonais allié du PSOE. Pour les socialistes espagnols, les dossiers Oloron- Canfranc et de la TCP devraient plutôt relever des négociations d’État à État engagées entre la France et l’Espagne.

Tribunal d’Instance : c’est bientôt fini
Dans quelques semaines, à la fin de l’année sans doute, le tribunal d’instance abrité dans les locaux du château de Soum, sera fermé. A la place que va-t-on y trouver ? Les archives municipales vont y être vraisemblablement transférées. Ce ne sera pas du luxe car l’actuel réduit situé au rez-de-chaussée de la mairie n’est pas digne de la ville de Lourdes. Le fonctionnaire qui y travaille a beaucoup de mérite.

Régionales : y aura-t-il des Lourdais(e)s en position éligible ?
On connaît depuis hier les dates des élections régionales. Elles se dérouleront les 14 et 21 mars 2010. Dans les états-majors politiques, les tractations ont commencé depuis quelque temps. Rappelons que parmi les conseillers régionaux sortants, ne figure aucun Lourdais ou Lourdaise. Est-ce que lors de la prochaine consultation, il y a des chances d’avoir au conseil régional un représentant de notre cité ? Très peu, sommes-nous enclin à répondre. Il faut se tourner vers les grands partis puisque ce sont eux qui envoient les élus à Toulouse. A gauche, le Parti socialiste tirera-t-il derrière lui le PRG et le PCF au premier tour ? Les Radicaux de gauche sont prêts à rouler pour le président sortant Martin Malvy. Au Parti communiste, c’est encore le temps des hésitations. Une alliance avec le Front de Gauche de Jean-Luc Mélenchon a beaucoup de partisans. La tête de liste socialiste pourrait être Bernard Plano, maire de Lannemezan, Pierre Forgues ayant annoncé son intention de ne pas briguer un nouveau mandat. En tenant compte de la parité, en n°2, il faut trouver une candidate. Probablement du côté de Tarbes, PRG ou éventuellement PCF (La Tarbaise Marie-Pierre Vieu est la sortante). En n°3, il faudra un candidat. Le PS peut-il en dénicher un à Lourdes ? Peu probable. En n°4, ce sera une candidate et si c’est au tour du PRG, la conseillère générale et leader de l’opposition lourdaise, Josette Bourdeu, pourrait revendiquer une place et se positionner ainsi pour les élections municipales de 2014 où elle voudra faire tomber celui qu’elle a déjà fait trembler en mars 2008. Après le n°4,ce sera difficile pour la gauche d’avoir un autre élu, vu le système proportionnel en vigueur.
Et à droite ? L’UMP a deux sortants : le maire de Tarbes Gérard Trémège et l’ancienne UDF Catherine Corrège dont on ignore si elle est encore proche du MODEM. Gérard Trémège a annoncé qu’il conduira la liste. En n°2, il faudra une femme. Catherine Corrège pourra-t-elle l’être ? Pas sûr. A Lourdes, l’UMP a-t-elle un nom à proposer ? On ne voit personne sortir du lot. Donc, la famille sarkozyste devra chercher ailleurs et promouvoir quelques nouvelles têtes. A Tarbes encore. Et ensuite pourquoi pas un candidat lourdais ? Le seul qui pourrait briguer une place c’est l’actuel maire Artiganave mais il a annoncé qu’il se consacrera uniquement à son mandat de maire. D’ailleurs, mouillera-t-il la chemise pour la campagne ? Bref, on ne voit pour l’heure, aucun (e) candidat (e) lourdais (e) susceptible d’être élu. Il y en aura sans doute sur la ligne de départ mais sans la moindre chance d’aller siéger à l’hôtel de région. Ginette Héry (MODEM), ancienne adjointe au maire de Lourdes, devrait sans doute faire partie de la liste que conduira probablement le Tarbais Pierre Lagonelle. Albert Danjau (Mouvement Ecologiste Indépendant) est susceptible de rejoindre une liste écologiste.

Pour la Cimade, plus de la moitié des personnes interpellées sont des pèlerins qui vont à Lourdes

La Cimade, association intervenant auprès des étrangers retenus en centre de rétention administrative, vient de publier son rapport annuel. L’activité et l’état des 23 centres de rétention du territoire français y sont détaillés pour l’année 2008. Parmi ceux-ci, celui d’Hendaye. Les conditions matérielles et la taille « humaine » de la structure (30 places) permettent, dit le rapport « une prise en charge convenable des personnes accueillies ».
« Plus de la moitié des personnes interpellées sont des pèlerins se rendant à Lourdes », note le rapport. Laurence Hardouin, président de la Cimade en Pyrénées-Atlantiques souligne que ceci est toujours d’actualité en 2009. « En août, 13 personnes ont été concernées et cela continue : des pèlerins ont été placés en rétention en octobre. »

Petite enfance : ce ne sera pas à l’institution Sainte-Marie
Lors de la dernière campagne électorale, le dossier de la Petite Enfance avait été au cœur des débats. Le maire de Lourdes sortant avait laissé

entendre qu’il détenait la solution. Lors d’un point-presse, il avait refusé d’en dire davantage. Tout juste avait-il laissé entendre que ce n’était pas très loin de l’actuelle crèche abritée dans les anciens locaux de ce que fut autrefois le cours Notre-Dame. Il ne nous avait pas fallu réfléchir longtemps : c’était à l’Institution Sainte-Marie, rue du Sacré-Cœur que pensait JPA. L’affaire n’était pas loin, paraît-il, d’être conclue. Depuis les mois se sont écoulés, le dossier fait du sur-place. Aujourd’hui, le maire et ses proches collaborateurs ont renoncé à faire l’acquisition de l’Institution Sainte-Marie. La raison ? C’est trop cher. Il fallait démolir et reconstruire. Le coût semble hors de portée des moyens de la collectivité lourdaise et du pays de Lourdes (CCPL). Où iront la crèche, la Souris verte ? Pour l’heure, on ne connaît pas la réponse. D’aucuns cherchent des terrains communaux susceptibles de faire l’affaire. Ils sont rares. Du côté de l’Ophite, il en existerait mais le contournement de Lourdes par le boulevard du Centenaire et le boulevard d’Espagne incite plutôt à la prudence.

Repérés sur le perron de la mairie
Hier, il nous a été rapporté qu’on les avait vus ensemble gravir les marches du perron de la mairie de Lourdes. De qui s’agit-il ? Eh bien de Christian Agius, vice-président de la commission extra-municipale et de l’environnement, et de Francis Roma, propriétaire de La Frégate. Tous deux auraient eu un rendez-vous important. Est-ce pour mieux faire rebondir ce dossier qui avait donné lieu à une séance plénière assez houleuse, dont personne n’a parlé dans la presse puisque la réunion était à huis clos. Ce soir-là, JPA n’aurait pas été dans sa meilleure forme pour faire face aux assauts de l’opposition.

Occupation hôtelière : les chiffres de l’INSEE (août 2009)

NDLR. Pour nous transmettre toute information, écrire à : redaction @lourdes-infos.com. Elle ne sera publiée qu’après vérification.

De retour
La semaine dernière, le maire de Lourdes était impossible à joindre localement. Il a fait sa réapparition sur la scène locale ce week-end. Selon la rumeur, durant quelques jours, il aurait pris ses distances avec la cité mariale. Voyage d’agrément ou voyage d’affaires ? Là, on ne peut pas vous le dire car nous ne sommes pas, on s’en doute, dans le secret "artiganavien". Par contre, à son retour, il aura sans doute fourni des explications aux commerçants des halles qui ont vu tomber, ces jours récents, des procès-verbaux sur les pare-brise de leurs véhicules. En fait, c’est l’application des mesures qu’il avait annoncées avant la saison concernant la nouvelle politique de stationnement payant qui en est la cause. C’est ce qui va sans doute améliorer la cote de popularité de notre municipalité.

Faiblard
C’est de l’éclairage du stade de Lannedarré qu’il s’agit. Si sa réfection, l’année passée, a coûté, paraît-il, 25 000 euros, le résultat n’est pas à la hauteur de ce que l’on pouvait espérer. Lors du match de coupe de France qui opposait samedi Lourdes à Saint-Gaudens, on a entendu des spectateurs et dirigeants dire que l’ancien éclairage était meilleur. Les photographes présents en bordure du terrain ont pu se rendre compte du manque de puissance des "lux".

Il va sortir
Le n°2 du magazine de la communauté de communes du pays de Lourdes bien sûr. Alors qu’on reste encore sous le charme du n°1 avec les 32 fautes que le tandem de "super-professionnelles" - CG-DPP - avait laissé passer, il y aura au moins une observation que nous ne manquerons pas de faire lors de sa diffusion. Nous ne sommes pas les seuls par ailleurs à nous interroger sur l’utilité d’un tel support de communication, tant le premier est passé complètement inaperçu.