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La dernière conférence de presse de Thierry Lavit

mardi 23 juin 2020 par Rédaction

Ce mardi, en fin d’après-midi, Thierry Lavit, leader de la liste “Lourdes Plus qu’une ville” a tenu sa dernière conférence de presse avant le second tour. Il était accompagné de Sebastian Puszka, le n°25 son équipe, qui s’est présenté d’entrée.

Présentation de Sebastian Puszka

« Je vais commencer par me présenter en quelques mots. Je m’appelle Sebastian PUSZKA, je suis d’origines anglaise et polonaise. Je suis né en 1989 au Royaume-Uni, et j’habite Lourdes depuis 1992 à la suite d’un déménagement pour raison professionnelle de mon père qui a travaillé au sein d’un grand groupe hôtelier. J’ai suivi toute ma scolarité à Lourdes, de Massabielle à Saint-Joseph Peyramale où j’ai passé mon BAC en 2007. Lourdes, c’est ma ville de cœur ! Bien plus qu’une simple ville d’adoption. J’y ai formé des amitiés et j’ai des souvenirs mémorables !

Par la suite, j’ai validé mon DUT Techniques de Commercialisation, ainsi qu’un Master 2 Management des Petites et Moyennes Organisations.

Depuis 2013, je travaille au sein du Pôle Emploi de Tarbes. D’abord en tant que conseiller spécialisé sur l’indemnisation du demandeur d’emploi. Et désormais, en tant que conseiller à l’emploi avec la référence sur le volet de la création/reprise d’entreprise.

A 30 ans, j’ai voulu donner un nouvel élan à ma vie et la rencontre avec Thierry Lavit a été une véritable chance ! L’aventure humaine que tous les colistiers vivent à ses côtés est passionnante ! Grâce à son dynamisme, son endurance de travail, son abnégation, sa vision et son amour inconditionnel pour Lourdes, il a su créer depuis maintenant plusieurs mois, une alchimie qui se traduit pas une sincère cohésion d’équipe.

Cette force collective nous permettra de faire face à cette crise sanitaire, sociale et économique.

Comme nous le savons tous, notre ville est touchée par un fort taux de chômage suite aux nombreuses annulations touristiques. Tout le circuit économique a été sévèrement impacté, aux vues des fortes relations d’interdépendance entre les différents secteurs économiques de notre ville : hôtels, restaurants, grossistes, entreprises, artisans, commerces, autocaristes.

Comme Thierry le rappelle souvent, la municipalité doit installer un environnement propice au bon développement économique, en créant les outils et les moyens adéquats.

Pour l’emploi : nous devons être facilitateur entre l’offre et la demande, entre les recruteurs et les futurs embauchés et les porteurs de projets.

La municipalité doit s’appuyer sur les différents acteurs institutionnels de l’emploi, ainsi que sur tous les acteurs de l’insertion professionnelle. Il existe de multiples dispositifs qu’il faut activer au cas par cas. J’insiste vraiment sur ce point. Etre à l’écoute de chaque salarié ou demandeur d’emploi en difficulté est primordial. Il faudra en assurer le suivi et le « guichet unique d’information » nous aidera dans ce sens-là.

Nous resterons bien évidemment attentifs à la situation particulière et délicate des saisonniers qui ont été sévèrement atteints.

C’est plus de 2500 saisonniers qui n’ont pas pu reprendre la saison au mois de mars, suite à la crise du covid-19.

Les Quartiers Prioritaire de la Ville (QPV) feront aussi l’objet d’une attention particulière.

Comme annoncé par Jean-Baptiste Lemoyne, le Secrétaire d’Etat au tourisme, un plan spécifique pour la ville de Lourdes sera établi ; sans oublier le programme « cœur de ville » qui sera un enjeu majeur des prochains mois et prochaines années pour appuyer ce cercle vertueux : une ville plus attrayante (pour les consommateurs et pour les entrepreneurs), une ville plus équilibrée entre le haut et le bas, des clients qui circulent plus facilement, des commerces qui se développent et s’adaptent, des emplois sécurisés et des embauches à venir.

Il faudra synchroniser tous les dossiers, de toutes les délégations qui impactent l’emploi et poursuivre ce que nous avons déjà entrepris au cours de cette campagne, afin de créer une véritable synergie.

Le dimanche 28 juin, soyons au rendez-vous avec la liste « Lourdes, plus qu’une ville » afin que Lourdes, potentiel exceptionnel, se mette de nouveau au travail !

Je vous remercie de votre attention.

L’intervention de Thierry Lavit

Bonjour à toutes et à tous,
Merci pour votre présence.

Lors de ma dernière prise de parole, je vous ai dressé le bilan de la situation du tourisme et du commerce, et je vous ai proposé des mesures et des actions qui feront partie de notre plan de relance pour Lourdes.

Aujourd’hui, je poursuis avec un volet particulièrement attendu par l’ensemble des Lourdais : l’emploi et l’économie ainsi que notre modèle de gouvernance

A Lourdes, économie, tourisme et emploi sont des problématiques indissociables.

Sur la base des données de la CCI de mars 2020 et de Flux Vision Tourisme (2019), Lourdes c’est une économie basée principalement sur le tourisme :
  80 à 90 % de l’économie lourdaise dépend du tourisme ;
  Soit 17,3 % des emplois touristiques de la Région et 9 % des emplois en région ;
  30 % de l’emploi salarié mais principalement saisonnier (6 mois en moyenne pour les contrats) sur un public sensible et précaire (6 mois de chômage).

Lourdes était déjà gravement malade avec un modèle économique à bout de souffle.
Après la crise, notre économie est dans le coma.

Lourdes c’est aussi, selon les dernières publications de l’Insee :
  37 % des ménages fiscaux imposés ;
  Taux de pauvreté moyen de 19 % atteignant 29 % pour les moins de 30 ans et 26 % pour la tranche des 30-49 ans ;
  Taux de logements vacants 16,67 % (9,7 % au niveau départemental) ;
  Taux de vacance commerciale 12 %
Un très grand nombre d’entreprises connaissait déjà de graves difficultés avant l’épidémie.

Selon le site www.procedurescollectives.fr, entre 2018 et juin 2020 ont été engagées :
  21 procédures de liquidation judiciaire ;
  7 procédures de redressement judiciaire ;
  aucune procédure de sauvegarde ;

Pour lesquelles :
  3 clôtures de liquidation ;
  aucune clôture de redressement.
Fin 2020, à n’en pas douter, le nombre de procédures aura considérablement augmenté.

Se réinventer pour recréer.

Si Lourdes est malade, c’est tout le bassin lourdais qui souffre. Lourdes représente 75% du bassin d’emploi. Les derniers chiffres.

Au 31 mars 2020, on dénombre 5251 les demandeurs d’emploi inscrits au chômage ce qui représente 23% de la totalité des demandeurs des Hautes Pyrénées avec une évolution sur le bassin de Lourdes de +0,9% sur 1 an alors que cette évolution est de -1,7% sur l’ensemble du 65.

Sur les 12 derniers mois, le nombre d’entrées au chômage est supérieur aux sorties. La grande majorité des demandeurs d’emploi s’inscrivent après un contrat à durée déterminée.

Pour information, le taux de chômage dans les Hautes Pyrénées est à fin mars 2020 de 9% contre 7,8% en Haute Garonne et 7,9% France entière.

Sur le bassin Lourdais, les femmes et les séniors sont particulièrement touchés par le chômage.

Avant la crise liée au Covid19, c’était toujours la filière de l’hôtellerie, restauration, tourisme qui recrutait majoritairement en CDD.

Concernant les offres d’emploi, elles ont chuté de 11% par rapport à avril 2019, mais cette situation ne tient pas totalement compte du démarrage de la saison lourdaise qui ne s’est pas effectuée.
Les prévisions de l’emploi sur le secteur de Lourdes sont très mauvaises avec dégradation potentielle des offres d’emploi et une augmentation importante du nombre de chômeurs et donc de personnes en situation précaire.

Cela n’aura échappé à personne, l’emploi à Lourdes est majoritairement saisonnier.

A ce sujet, je rappelle que nous soutiendrons et co-construirons un projet de création d’une Maison des travailleurs saisonniers et plus largement d’une Maison France Service ainsi que celle d’un Groupement d’employeurs qui permettront de sécuriser et pérenniser l’emploi et les parcours professionnels.

C’est aussi une manière de lutter contre la précarité.

Je dis souvent, que la relance garantira de l’emploi, si et seulement si l’amélioration de la qualité d’accueil et du tourisme est faite. Alors il y aura de l’attractivité donc de l’emploi. Il en va de la survie de Lourdes.

Aujourd’hui, après le confinement en particulier et la crise du COVID-19 en général, nombreux sont ceux qui veulent quitter les grandes villes pour « vivre au vert ». Profitons de cette tendance pour donner aux gens l’envie de venir vivre à Lourdes et ainsi attirer de nouveaux habitants

Lourdes présente de réels atouts :
  La qualité de vie ;
  La qualité des produits ;
  Le climat ;
  L’environnement local : à proximité des thermes, des stations de ski, de sites de randonnée, etc…
  La proximité avec l’aéroport Tarbes-Lourdes-Pyrénées ;
  Le prix de l’immobilier très intéressant.

Le développement économique et le rayonnement de Lourde, de manière pérenne, doit également passer par la mise en valeur de nos atouts pour la rendre plus attractive.

Il faut inciter, favoriser et accompagner par des moyens factuels l’installation de nouveaux résidents et de nouvelles entreprises. Nous avons les moyens de développer cette offre pour ce nouveau marché post-Covid.

Notre ville ne peut pas compter uniquement sur ses propres atouts pour assurer son développement, c’est pourquoi le plan de relance devra et pourra s’appuyer sur des outils déjà existant tel que le Groupement Européen de Coopération Territoriale (GECT) Pirineos-Pyrénées entre la Communauté Autonome d’Aragon (Espagne), le Département des Hautes-Pyrénées (France), et le Département des Pyrénées-Atlantiques (France) crée en 2018.

A ce sujet, je rejoins le Président du Conseil départemental, comme lui, je crois en la pertinence de ce groupement pour le développement de l’emploi dans les Hautes-Pyrénées et en particulier à Lourdes.

Je rappelle brièvement les objectifs du GECT :

  promouvoir, à l’échelle nationale et internationale, une seule et même destination touristique : les Pyrénées et assurer sa commercialisation ;
  soutenir le développement durable des territoires de montagne et de leurs piémonts : maintien des populations, adaptation aux différentes transitions (climatiques, économiques, sociales...), création de mobilités locales et touristiques innovantes, encouragement aux coopérations entre collectivités, associations, entreprises sur l’ensemble du territoire commun ;
  gérer ensemble les infrastructures transfrontalières, notamment les points de passage ;
  optimiser la capacité à obtenir des financements européens.

Nous pourrons également, nous appuyer sur la convention signée entre l’Association des maires de France (AMF) et Pôle Emploi qui renforce le partenariat entre les maires, les présidents d’intercommunalité et les services de Pôle Emploi sur tout le territoire qui peuvent mettre en commun leurs moyens au service de l’emploi local.

Aujourd’hui, dans cette prospective de l’économie de la distanciation et des contraintes post-Covid, il faut reconquérir le marché national et le marché européen de proximité en s’inscrivant dans le plan marketing et financier de la Région.

Je l’ai dit, Lourdes a un regard porté sur l’Europe et ce, depuis toujours. Aujourd’hui l’Europe accompagnera notre renaissance.

Aucune piste ne sera négligée. Il est primordial de diversifier l’offre économique. En effet, le tissu industriel lourdais existe, mais reste méconnu. Et pourtant, sur notre territoire, nous avons des fleurons de l’innovation, de l’ingénierie internationale.

Lourdes compte 2 zones d’activité économique intermédiaire d’équilibre territorial complètement ignorées par la Communauté d’agglomération :
  la zone du Monge ;
  la zone d’activité de Saux.

Sachant que la grande zone d’activité économique stratégique Pyrène-Aéropole participe au développement touristique et économique de la ville de Lourdes.

Car il ne faut pas oublier, que la Communauté d’agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées est compétente en matière de développement économique.

A ce titre, elle doit encourager la création et le développement des entreprises de toute nature et de toute taille.

Dans le cadre de sa politique de développement économique, les zones d’activités représentent un levier essentiel, et il ne faudrait pas que Lourdes soit le parent pauvre de cette politique de relance et soit l’oubliée de la revitalisation industrielle.

Je vous l’ai déjà dit mais là aussi je me répète : Lourdes ne doit pas devenir un arrondissement de Tarbes et çà à tous les niveaux.
Maire, je porterai haut et fort la voix de Lourdes au Conseil communautaire.

Je serai un maire audacieux et déterminé pour garder le cap et faire en sorte que notre ville ne soit pas la laissée-pour-compte de la Grande Agglo.

Nous impulserons, aux côtés des acteurs locaux, et soutiendrons la création d’entreprises locales et d’emplois durables.

Nous créerons une Régie de quartier en lien avec la commission Économie Sociale et Solidaire du Conseil municipal pour apporter une réponse concrète aux quartiers prioritaires, dans le cadre d’un support avec le Groupement d’Intérêt Public (GIP) de la Communauté d’agglomération.

Nous impulserons également, la création de forme entrepreneuriale telle que les Sociétés coopératives d’intérêt collectif (SCIC) pour la mise en œuvre d’un service public local comme la gestion des forêts communales, l’entretien des trottoirs, des cimetières, des maraîchages, ou la mise en place de plateformes coopératives, etc.

Nous réserverons des lots et des marchés de la commande publique aux opérateurs de l’Économie Sociale et Solidaire (ESS).

Nous intègrerons des clauses sociales d’insertion dans les conditions d’exécution et les critères d’attribution des marchés publics. La clause sociale sera incluse dans les appels d’offres afin de faire bénéficier les personnes sans emploi.

Enfin, nous encouragerons la réinsertion professionnelle dans les métiers de la Transition écologique (stages, ateliers, formation, etc.).

Mais il existe bien sûr d’autres pistes de réflexion dont celles émanant de la note stratégique sur l’économie lourdaise récemment publiée par la CCI.

En effet, notre politique de relance, en plus des plans institutionnels nationaux et européen, s’appuiera et c’est une évidence, sur des propositions spécifiques et locales.

Ainsi, la CCI envisage la création d’un fonds dédié comme l’ancien crédit hôtelier pour racheter les crédits en cours, en proposant un nouvel échelonnement dans le temps sur des délais plus long afin de ne pas fragiliser les entreprises (par exemple pour des investissements ou acquisition 10 ans pour les fonds, 20 ans pour les murs…) à des taux compris entre une fourchette de 2 à 4 % afin de prendre en compte le risque. L’objectif sera d’éviter ainsi le défaut de paiement, de fragiliser les entreprises. Il permettra également aux banques une réassurance et une mutualisation du risque sur ce secteur afin de ne pas activer la garantie d’Etat.

Je me permets d’ajouter que le secteur hôtelier Lourdais a investi près de 130 millions € sur les 14 dernières années.

L’idée est aussi de faire de Lourdes une Zone Touristique Internationale en accompagnant cette démarche de mesures fiscales incitatives (exonération de charge…). Le périmètre de cette zone pourrait être le département des Hautes-Pyrénées dans la sa globalité. En effet, le tourisme représente + de 40 % du PIB du Département.

Du point de vue des mesures fiscales, les leviers pourraient agir à deux niveaux :
  La consommation : envisager une baisse de la TVA pour stimuler la consommation bar-restaurants, commerces de souvenir, etc. ;
  L’investissement et l’attractivité du territoire : instaurer une franchise de cotisation ou exonération partielle de la taxe foncière, pour stimuler l’investissement, l’installation de nouvelles entreprises lié de manière directe ou indirecte au tourisme mais contribuant à l’attractivité de la destination soit en matière d’image, d’emplois, de logistique, etc.

Tout est possible mais il faut que certaines conditions soient réunies.

L’exercice du pouvoir est difficile, l’ignorer est une grossière erreur.

Une équipe au CV impressionnant sur le papier, c’est rassurant, c’est bien, mais pas suffisant.

Un programme affichant un certain professionnalisme, c’est rassurant, c’est bien, mais pas suffisant.

Car, à mon sens, il manque des éléments essentiels.

D’autre part, ne peuvent prétendre mieux servir en sincérité Lourdes que ceux qui y vivent.

Certains m’accuseront d’insister, mais qui est mieux placé pour connaître les besoins, les faiblesses et les forces de sa ville que celui qui y demeure et qui participe au quotidien à la vie, au développement de la cité.

En effet, certaines têtes de liste ont déjà eu l’occasion de mettre en œuvre leur compétence au service de la ville et des Lourdais, et ce pendant des années.

Je suis convaincu qu’il est indispensable pour réussir ce nouveau mandat de donner une nouvelle direction avec un nouveau capitaine à bord.

Je sais combien l’engagement pour la chose publique est compliqué et combien la mission d’élu est difficile.

Le chaos économique est tel, les difficultés qui attendent la prochaine équipe municipale sont tellement importantes, que seule une équipe reposant sur des fondations solides pourra s’adapter aux circonstances et résister.

Une élection ne limite pas au temps de la campagne, même si celle que nous venons de vivre était exceptionnellement longue, ni au jour de la victoire.

Le maire et son équipe sont élus pour un mandat de 6 ans.

La campagne pour le second tour va s’arrêter vendredi soir. Je profite donc de cette prise de parole pour vous réaffirmer que pour réussir la renaissance de Lourdes, l’équipe municipale devra, dès les premiers jours du mandat, être en capacité de travailler ensemble, savoir se remettre en question continuellement pour trouver des réponses aux questions, et faire preuve d’une impérieuse adaptabilité aux circonstances, est indispensable pour faire face aux crises actuelles et futures.

La fameuse « union sacrée » dont je vous parle si souvent.

Pour réussir à relever les défis qui attendent le prochain maire, il est indispensable non seulement de maximiser les possibles et d’être facilitateur dans la recherche de solutions mais aussi et surtout de mettre en place un modèle de gouvernance partagé qui assurera de manière pérenne le mandat dans toute sa durée.

Le mode de gouvernance est décisif dans notre capacité à agir dans le contexte économique, social et politique que nous connaissons. C’est pourquoi il doit réfléchi, transparent et participatif comme nous l’avons souhaité depuis le début de notre travail.

Je vous l’ai déclaré, telle une profession de foi lors du meeting de mars dernier, et je vous renouvelle mon engagement aujourd’hui :

Parce que Lourdes est plus qu’une ville, nous devons être à l’écoute de tous : résidents, socioprofessionnels, agents communaux, saisonniers, visiteurs, associations, nouveaux arrivants...

Les Lourdais ne sont pas le problème mais la solution !

Les personnels communaux ne sont pas devenus le problème, ils sont et seront toujours les forces vives de l’action municipale. Ils peuvent compter sur moi, sur nous !

Les socio-professionnels et le Sanctuaire ne sont pas des contraintes ou des opposants mais des partenaires.

J’aurai à cœur de rencontrer les Lourdais lors d’une permanence mensuelle pendant laquelle nous pourrons échanger en parfaite transparence.

De véritables commissions extramunicipales seront installées, nous relancerons les Conseils de quartiers auxquels nous attribuerons des missions de relais démocratiques, en permettant au citoyen de participer aux décisions qui le concernent.

Nous veillerons à ce que chacun puisse initier ses propres projets et aussi être représenté au sein d’une commission extra-municipale inter-quartiers.

Nous organiserons des réunions régulières pour informer, sensibiliser et répondre aux différentes sollicitations et sur chacune de nos actions. L’objectif étant de ne pas rompre la confiance et de lutter contre le sentiment de « laissés pour compte » des habitants.

J’ai toujours été un citoyen engagé dans le monde associatif et politique.
Aujourd’hui, je suis un candidat à la mairie qui s’engage auprès des électeurs.
Demain, je serai un maire engagé pour les citoyens. Cela ne peut s’entendre sans une grande proximité, et j’irai jusqu’à dire une grande complicité avec eux.

Soyez rassurés, si je suis élu, mes 25 ans d’expérience au service de la chose publique, mes compétences, ma détermination et mon courage me permettront de mener à bien ma mission.

Il ne faut pas qu’il y ait d’amalgame ou de confusion des genres entre ce qui relève de l’élu et ce qui relève de l’administration. D’autant que leur complémentarité est absolument incontournable.
Je suis prêt et tout-à-fait en capacité de mener à bien la mission de maire.

Je sais pouvoir compter sur vous, et vous pouvez compter sur moi.

Je n’ai qu’un seul programme, celui de l’action.

Je n’ai qu’un seul programme, les Lourdaises et les Lourdais.

Le 28 juin, Osez envisager le meilleur pour notre ville afin qu’elle retrouve force et souveraineté en votant pour la liste Lourdes, plus qu’une ville.

Je vous donne RV jeudi 25 juin à 20h00 au Palais des congrès pour le meeting de fin de campagne.
Attention, l’accès à ce grand moment d’échanges, ne pourra se faire que sur inscription, le nombre de places étant limité afin de respecter les règles sanitaires en vigueur.

Vous pouvez vous inscrire de différentes manières :
  en nous adressant un mail à l’adresse : lourdesplusquuneville@gmail.com
  en nous téléphonant ou en nous adressant un SMS au 07 56 93 14 50
  ou directement à notre permanence : 12 avenue Alexandre Marqui qui est ouverte du lundi au samedi de 16h à 18h.

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